LAST DAY_.
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Last-Day. « Jeunesse Dépravée » .
 
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 Belial's World ____'

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Belial Della Robia
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Belial Della Robia


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MessageSujet: Belial's World ____'   Belial's World ____' EmptyDim 20 Sep - 18:13

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- - - - - CARTE D'IDENTITÉ - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - .
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Belial's World ____' Erlojs

« La vie est une saloperie et chaque seconde de lucidité est un supplice »
[Lolita Pille]


    x NOM : Della Robia.
    x PRÉNOM : Belial Gabriel.
    x DATE DE NAISSANCE - AGE : Né le 1er Janvier 1987. 22 ans.
    x LIEU DE NAISSANCE : Tôkyô.
    x FAMILLE : Mère et Père décédés. Son tuteur encore vivant quelque part, il l'ignore.
    x ORIGINES : Franco-Italienne de son père. Japonaise de sa mère.
    x SEXE : Masculin.
    x ORIENTATION SEXUELLE : Bisexuel.
    x GROUPE : FAMOUSwave.


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- - - - - DEAR DIARY - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - .
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    x HISTOIRE :

    « Dans la vie, j'ai eu le choix entre l'amour, la drogue et la mort.
    J'ai choisi les deux premières et c'est la troisième qui m'a choisi... »

    [Jim Morrison]

    He just knew a crooked love.

    « There was a crooked man and he walked a crooked mile,
    He found a crooked sixpence upon a crooked stile.
    He bought a crooked cat, which caught a crooked mouse.
    And they all lived together in a little crooked house »


    Chapitre 1.

    Clarence : « Parfois, j’ai des relents de souvenirs étranges. Belial était quelqu’un de profondément contradictoire. Il ne faisait que ce qu’il avait envie de faire. Au grand damne de l’école et des lois. Je me souviens que ça lui avait valu de nombreux problèmes, mais tellement de sourires qu’on ne pouvait finalement qu’en rire. »

    Belial est né dans une grande famille bien riche, bien puissante, le must du must, la crème de la crème comme on se plairait à le dire. Il était né en temps qu'héritier de la firme Della Robia, spécialisé dans le commerce internationale. Un grand nom parmi tant d'autre. Mais de savoir que la firme avait un héritier, seul cela importait. Même si l’héritier était un bâtard issu d’une conquête lors d’un voyage au Japon. Les sentiments de cet héritier n'ont jamais eu d'importance, et cela durant toute son enfance. Il n'avait pas vraiment eu d'enfance heureuse. Pas vraiment eu d'enfance non plus. Pas vraiment non. Une enfance dans un manoir trop grand, avec un style trop occidental pour lui pauvre gamin nippon qu’on avait ramené à sa naissance après que sa mère soit morte en couche. Un manoir avec un précepteur, et un petit frère, d'à peine un an son benjamin. Une vie d'aristocrate. Soirée mondaine, petite fête entre amis, tout cela il connaissait. Goûter d'anniversaire, soirée en famille autour de la télévision, tout cela il ignorait. Amour, mot absent à son vocabulaire, argent mot trop présent. Sa vie ne rimait qu'à ça. Il avait tout appris pour être ce qu'il était. Parfaitement arrogant, et hautainement vaniteux. Le précepteur avait manqué de s'arracher les cheveux une bonne centaine de fois, la nounou avait rendu son tablier quarante deux fois. Des visages qui se succédaient sans aucune importance dans son entourage. Jusqu'au jour où James, fils d'une autre famille célèbre débarqua. James plus libre que Lia qui lui pouvait aller à l'école. De bourge certes, mais l'école tout de même. C'est ainsi que Belial fit son premier caprice officiel, l'un d'une longue série, et qu'il obtint ce qu'il voulait comme toujours. Le jeune homme entra au collège avec James. Et c'est là que ses frasques commencèrent, à son plus grand plaisir, mais au déplaisir de ses parents.

    James : « Belial Della Robia était une énigme interpellante. Il finissait toujours par tirer de moi ce qu’il voulait, mais il ne faisait jamais rien comme tout le monde. Avec lui, je n’ai jamais eu l’impression de me faire manipuler. Il me provoquait. Mais j’adorais sa manière de me confronter. Lui et moi, Moi et lui, jamais je n’aurais pensé que cela puisse finir. Lia était un homme d’idées. »

    Les cours ont débutés pour lui d'une manière bien étrange. Au début on mettait sur le coup de son adaptation, mais par la suite les excuses ne passaient pas ou plus, ou sinon avec un peu d'argents, moyen courant dans ce collège. Et puis Lia avait de la chance, sa famille était la plus riche, il était donc le roi, celui qu'on devait avoir comme ami, celui qui leur ouvrirait toutes les portes plus tard. Ah comme Paris et ses enfants de bourges semblaient bien futile à Della Robia fils du haut de ses onze ans. Et pourtant il s'y fit sans mal à cette vie. Vie insolente envers les autres, mais vie tout de même, si ce n'est survie. Autant le dire Lia se complaisait dans cette vie comme d'autre se complaisaient dans le bonheur, mais il ne connaissait que ça. Une chose était sure il était sacrément intelligent et foutrement provocateur. Manipulateur à souhait l'école lui mangeait dans la main. Même son frère qui l'avait rejoint l'année d'après parce que finalement, mêler ses enfants à ceux des autres ça avait du bon disait leur père, ça forgeait le caractère, était là à ses pieds. Hélas le caractère de Lia était déjà pourri, non Belial était déjà pourri jusqu'à la moelle et être le roi de l'école n'avait rien arrangé. Qu'on l'adule, qu'on l'idole, qu'on le craigne, tout ne faisait qu'avancer l'inévitable : la chute. Alors que même les professeurs avaient renoncés à faire quelque chose contre lui, peur des représailles de la famille, peur d'une énième crise de la part de l'enfant, tandis que Lia régnait en Roi, James jouant le prince, un quelque chose, ou plutôt un quelqu'un fit tout déraper.

    Clarence : « J’ai toujours eu tendance à prendre des mauvaises décisions, et Lia ne s’est jamais montré du meilleur soutien lorsque le tourment me rendait fou. Evidemment, lui ne pensait pas à la place des autres, il avait déjà assez à penser avec lui-même. Malgré les années, connaître mon frère se révélerait impossible. Il avait un passé bien trop complexe. Un passé qui détruisait et détruirait encore, pendant de longues années, sa vie et celle des gens qu’il aimait. Et c'est en partie ma faute. »

    Quoi que l'on pense, que l'on dise, Lia était un roi à l'école. Un roi écouté, et qui savait écouter ses vrais amis, pas ses sujets, pas ses gens sans aucunes valeurs et morales qui n'était là que pour grappiller un peu de pouvoir qu'avait Belial sans rien faire. Des gens jaloux ou profiteurs. Pourtant malgré tout ce qu'on disait sur lui, il ne mettait pas son frère, Clarence, dans le même lot. Il avait beau être arrogant, un véritable salaud du haut de ses quatorze ans, il n'en n'était pas à trainer son frère dans la boue à le considérer comme un moins que rien. Non étrangement il en prenait soin de son frère. Aussi caractériel que lui, mais un peu plus bagarreur. En y repensant il n'aurait pas du faire n'importe quoi ce jour là. Non franchement il n'aurait pas du. Pourtant il le fit, et Belial en bon chevalier de son frère, vint l'aider. Tout avait commencé entre une simple dispute entre son frère et un élève quelconque de l'école. Dispute en haut des escaliers. Notre jeune homme y avait assisté d'en haut sans intervenir. Une sorte d'accord entre les deux frères. Lia protégeait Clarence de part son aura, Clarence s'arrangeait pour ne pas couper l'herbe au pied de son frère. Mais ce jour là, il aurait peut-être du intervenir plus tôt. Car quoi qu'il en dise à présent, malgré toute la haine qu'il ressent envers son frère, le voir dégringoler les escaliers la tête en première le glaça d'effroi. Il n'avait pas pu le rattraper, pourtant il avait essayé.

    Et c'est le que tout dérapa.
    Que son monde se tordit pour de bon.

    Chapitre 2.

    Lia : « Jusqu’au jour où je cru voir la mort pour la première fois, on me décrivait comme une personne insouciante et calme, tirant parti de sa confiance et son intelligence pour se faire apprécier des autres. Jusqu’au jour où je cru voir la mort pour la première fois, les adjectifs qui me correspondaient le mieux étaient certainement vaniteux et arrogant. Avais-je jamais hésité à repousser une personne car elle n’égalait pas ma classe, mon rang ? N’avais-je pas, à de nombreuses reprises, méprisé ceux que je considérais comme inférieurs à mon statut de garçon de riche du haut de mes douze ans ? »

    Le jour où il vit son frère descendre les marches une à une dans un ralenti macabre, le voyant heurter chaque marche avec un bruit sourd dans sa tête, son monde se détraqua. Un bourdonnement avait envahi ses oreilles, coupant tout son venant de l'extérieur. Mais il voyait son frère heurter marche après marche, essayant futilement de freiner sa chute avec les mains. Chaque choc le faisait sursauter intérieurement comme s'il était lui-même en train de dévaler l'escalier. Il était encore trop loin pour faire quoi que ce soit... s'il avait pu courir plus vite... il aurait pu tenter de le rattraper, mais de si loin, et alors qu'il tombait si vite... il ne s'appelait pas Superman, quand même. Son cerveau galopait aussi vite que ses jambes sur cette courte distance. Appeler à l'aide ? A quoi bon, puisqu'il se heurtait déjà à chaque marche ? Et pourquoi, mais pourquoi personne ne tentait rien, alors qu'il y avait tant de monde bien plus proche de lui ? Parce que c'était son frère, voila tout. Belial si calme, laissa pour une fois éclater une colère non pas froide comme à son habitude. Non il vit rouge et devint violent. Agrippant le responsable, il reprit la dispute de son frère avec ses poings. Il frappait fort, et vite, un rictus déformant son visage. Chacun de ses coups même si maintenant il refuse de le dire était jouissif. Il aurait pu le tuer, il aurait du le tuer. Mais des bras l'encerclèrent et le tirèrent hors d'attente du bourreau de son frère. A ce moment tout les élèves pouvaient le dire, ce jour là, Belial était incontrôlable est fou. On avait réveillé le diable.

    Son père : « Dire que Belial était parfait serait mentir. Dire qu’il était honnête serait ridicule. Dire qu’il aimait quelqu'un, sans importance. Mais dire que s’appeler Della Robia aurait du rimer avec arriver toujours à ses fins était plutôt juste. Malheureusement, c’est le genre de choses qu’on apprend qu’à ses dépends… »

    Dans le bureau de la directrice de l'école, il y eut également un carnage. On l'avait enfermé là, le temps d'appeler les urgences pour son frère et son bourreau, on avait également appelé ses parents qui cette fois-ci ne pourrait rien faire. Mais Belial était dans une rage folle. Son frère, son si précieux petit frère ... Lorsque la directrice revint dans son bureau accompagné de ses géniteurs, elle soupira. On lui demanda des explications, on lui expliqua de quoi il était coupable. Quand il comprit de quoi on l’accusait, pour lui ça n'avait que le sens d'une punition. Il l'avait bien cherché. Mais ça ne s’est jamais arrêté. Il avait tout perdu pour ces quelques gestes de trop. Il ne s'était pas défendu, ne pouvant y croire. Il était un assassin. Amorphe et sans voix. Plusieurs jours comme ça, aux arrêts, au commissariat, où les flics se repaissaient en lui disant l'état du gars pour son frère à peine amoché. Il lui avait fait payer au centuple la douleur de Clarence. Et quand il s'est réveillé de sa léthargie, quand il commença à crier son innocence, à expliquer l'histoire, c’était trop tard. Il était resté silencieux trop longtemps et ils avaient tous pris ça pour un aveu. Après le commissaire a dit qu’il n’approuvait pas les méthodes de ses parents et lui a demandé de lui dire la vérité mais il avait tellement honte de lui qu'il se tut à nouveau. Et après le fric de ses parents arrangèrent le tout, l'histoire ne s'ébruita pas, l'on tint les élèves sous silence. Méthode affreuse et déplaisante pourtant suffisante.

    Lia : «C’est dans les moments difficiles qu’on reconnaît ses vrais amis… Je ne sais plus qui a écrit cette phrase, mais ça a du sens. Je dois avouer que lorsque ce moment horrible et pourtant inévitable s’est abattu sur moi, ce ne sont pas ceux à qui j’aurais pensé en premier lieu qui me soutinrent… »

    Mais ce ne fut pas ça le pire pour Belial. Dans ce cercle de violence où l'argent règle le tout, le pire fut sans doute la perte de confiance des gens qu'il estimait. Tout s'était enclenché, les engrenages rouillés s'étaient remis en route dans son monde détraqué. Les uns après les autres lui donnèrent un coup de couteau dans le dos, à commencer par James son soi-disant meilleur ami qui avait témoigné contre lui à la police. L'appel du pouvoir sans doute. Lui ça ne fit pas si mal. Ce qui fit mal se fut son frère. Son cher petit frère, qui expliqua en pleurs que c'était Belial qui l'avait poussé, tandis que l'autre élève, tabassé à mort avait voulu le protéger. Un coup qui fit mal. Trop mal. Viré de l'école, il restait cloîtré chez lui pendant que son frère joué au nouveau roi secondé de James le traître. Et lui de son côté il subissait les gifles de son père, ses morales, les pleurs de sa belle-mère, ses hurlements de déception sans rien faire, sans se battre, sans se rebeller. Parce qu'il était en tort, mais pas du même tort que celui dont on l'accusait. Certes il avait frappé ce garçon, mais c'était pour Clarence, ça ne justifiait pas son geste, mais ça aurait du l'expliquer, si le dit frère n'avait pas discrédité la vérité. Et cela hélas n’était pas suffisant pour descendre l’enfant. Mettons les points sur les i. Il ne savait pas comment été morte sa mère, ni comment on l’avait retrouvé. Pour lui, sa mère était morte en le mettant au monde et non pas en se suicidant. Même si en grandissant il avait compris que c'était de sa faute. Oui sa faute, à lui le gamin à peine né. Il avait tué sa mère. Elle ne voulait pas de lui, son père le lui disait souvent en le moralisant depuis cette histoire. A force ça rentre dans la tête, ça s'incruste, et plus rien ne part. Une litanie qui devient sa vie. « J'ai tué ma mère. » Matricide à son actif, à peine né.


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MessageSujet: Re: Belial's World ____'   Belial's World ____' EmptyDim 20 Sep - 18:14

    Sa belle mère : « Lia … C’est tellement étrange d’écrire ce nom. Il signifiait tellement pour moi. J’avais placé tous mes espoirs, tous mes rêves, toutes mes attentes en lui-même si c’était le fils d’une catin comme une autre. Il… Il a toujours eu cette fabuleuse et horrible capacité de passé du tout au rien en un instant. Un jour, il était gentil, le lendemain un criminel. Un jour, il brillait d’humour et de bonne humeur, et celui d’après faisait peur à un candidat suicide. Une heure il s’excusait, et la suivant criait. Un jour, il était tel un petit Lord parfait et … le lendemain, il disparut de ma vie. »

    Une main qui s'abat sur son visage aux allures nippones, seul don de sa mère, un hématome sur la joue, mais aussi il souffre parce qu’il est le fidèle portrait de sa mère. Que ça soit ses gestes, sa voix, son physique. On lui a dit une fois que c'était pour ça qu’il l’aimait. Une sorte de transfert amoureux. Il était épris de ma mère, donc il devenait forcément épris de son apparence. C'était son père qui avait fait venir un spécialiste un jour. N'importe quoi. Si ce n'est pas charmant. D’ailleurs ce fut à ce moment là, après l’histoire avec son demi-frère, que l’on ressortit les vieilles histoires, l’accablant encore plus. Entre autre on l’accusa d’avoir tué les lapins de l’école. Bon certes, on le trouva aussi sur le lieu du crime, du sang plein les mains, mais ce n’était pas lui, il était spectateur. Incompréhensible hein. Un peu dérangé surtout. On raconte qu'à partir de cet âge il s’est renfermé. Un peu trop. Et qu'il y a eu un accident. Il est tombé dans les escaliers de la villa. Amnésie. Réveil à l'Hôpital. Crever les larmes aux yeux, à côté de l'âme sœur sera impossible, surtout en face d'un chez d'œuvre. Les cloches sonnent un peu trop brutalement. Réveil brutal, sans doute un peu trop. Une pièce blanche trop claire à son goût. On lui expliqua. Six mois de Coma. Le bonheur suprême. Même pas fichu de crever. Treize ans et amnésique. Treize ans et enfant à problème. Il s’appelle Belial Della Robia, héritier d’une grande famille et c'est tout ce qu’il sait. Son père ne vint presque jamais, et durant les six mois, il ne fut venu que six fois, une fois par mois pour lui raconter ce qu’il avait fait. Son frère, sa mère, et aucun souvenir de ce qu’il s’était vraiment passé. Il voulait sans doute le voir mort, pouvait-on penser ironiquement. Et maintenant si on lui demande si il haït son père, la réponse reste toujours la même : « Est-ce que je le hais ? Je n'en sais rien. J’ai fugué. »

    J’avais Treize ans, déjà les cheveux décolorés, déjà des piercings.
    Mais je ne connaissais rien de la vie.

    Chapitre 3.

    Lia : «Peut-on être ami avec quelqu’un qui vous cache des choses ? Peut-on faire confiance à quelqu’un qui passe sa vie à protéger ses secrets ? Peut-on se fier à quelqu’un dont on ne cesse de vous dire qu’il faut en rester éloigné ? »

    Il est des parfums frais comme des chairs d'enfants... Les souvenirs voguent et s’en vont, pourtant cette nuit reste l’une des plus marquantes du peu qu’il se souvient. Une maison. Grande, imposante, autant s’y refugier. La cave était ouverte, alors il s’y était faufilé pour s’y reposer quelques temps avant de reprendre sa fugue. Comment aurait-il pu savoir que ce n’était pas le repos qui l’attendait, mais l’enfer ? Dans le couloir de la maison, un couteau de chasse était suspendu. Dangereuse tentation, mais pour un meurtrier, n’était-ce pas parfait ? C’était ce que pensait le jeune Belial. Ses fines mains tremblantes s’emparèrent de l’arme avant de faire glisser la lame hors du fourreau et de la placer sur son poignet. Tailladera, tailladera pas. Tailladera, parce que la vue du sang l’enchantait. Il n’était pas normal, ça allait de soi, il était un enfant à problème, trop instable, un enfant de treize ans qui ne connaissait pas la vie, et qui ne voulait pas la connaître. Trop d’interrogations, peu de réponses, de souvenirs fabriqués grâce aux peu de paroles de son père. « Ma mère a-t-elle aimée mon père, mon père m'a-t-il aimé ? » Question sans réponse, il ne le saura jamais. « D’ailleurs qu’est-ce que je fais là dans cette p*tain de baraque. Mon poignet est ouvert, je suis assis au sol, et je vais mourir. Je vais mourir à treize ans après une fugue, après être entré par effraction dans cette maison. » C’était ce qu’il pensait. Il en était convaincu. Et il le voulait. David Della Robia serait anéanti. L'image de sa mère mourrait en même temps que lui. Mourir. Oui, c’est ce qu’il croyait. Mais. Il y a toujours un mais. Mais rien ne se passe comme on le veut.

    « Eh p’tit ça va ?
    - ...
    - Comment tu t’appelles ?
    - Be … lial ... Gabriel …
    - Lequel des deux ?
    - Aucun. Vous ne me … tuez pas?
    - Je ne te veux pas de mal. Enfin... Pourquoi pas? »

    Eliot : « J’ai toujours été partisan de la franchise la plus totale avec les gens j’aimais. Pourtant, certains mots, certaines marques d’affection, ont toujours eu du mal à dépasser mon caractère impulsif. Certains s’en offusquaient, d’autres s’en moquaient. Belial me recopiait. C’est seulement alors que je compris la douleur que j’infligeais à mes proches, à mon insu. »

    Il enleva alors sa main qui couvrait le front de l’enfant et celui-ci pu ouvrir alors ses yeux. Un regard si pur, mais tellement étrange, l’un fauve l’autre vert, plus tard il le dira sans mal il aurait pu se perdre dans les yeux d’Eliot. Il était anglais comme son père, mais avait vécu en France, adepte de la littérature française, amoureux de Baudelaire, bourreau d’enfant, dans sa grande maison, enfin c'est ce qu'il disait. Il avait juste trouvé un gamin dans un de ses couloirs en train de s'ouvrir les veines oui. Psychopathe sur les bords, kidnappeur à ses heures perdues, et j'en passe, Lia croyait à toutes les horreurs qu'il aurait pût lui dire à ce moment là. Mais peut-être que Lia l’a-t-il aimé. Son père a accepté de lui laisser sa garde, faisant de lui son tuteur légal. Il récupéra ses affaires de chez son père, celui-ci ouvrit un compte en banque, avec de quoi faire rêver pour son héritier qui le restait, son père renonçant à le renier malgré tout, à croire que Clarence n’était pas aussi parfait. Il récupéra sa batterie, son père ajoutant dédaigneusement qu’avant son amnésie il savait en jouer et adorer leur casser les oreilles avec. Et il savait toujours jouer, ses doigts se souvenant des gestes, sa mémoire perdue des mélodies. Il passait sa vie à ça. Il récupéra aussi son violon, son père la dernière fois qu’il l’avait vu ajoutant qui il était aussi doué que sa mère avec un violon, de sa vraie mère s’entend, et sur ce coup là, peut-être que Lia avait réalisé l’indifférence que lui apportait son géniteur, lui adressant un sourire, mesquin, mutin et sans saveur. Soyons honnête, il n’allait plus en cours depuis son amnésie suivant des cours à la maison. Trop instable pour supporter les gens. Mais peu à peu il s’est calmé. Sachez juste qu’il l’avait pris sous son aile, et c’est à peine s’il savait qui il était, Eli qu'il s'appelait. Eliot je ne sais quoi. Il vivait dans une grande baraque, n'avait pas de femme, n'en voyait pas l'intérêt, et avait décidé de le garder car même près de la mort il avait été capable de faire de l'ironie, et aussi parce qu’il était beau. Un brin timbré mais bon, on ne peut pas tout avoir.

    Belial : «Quand Sidney m’avait dit qu’il m’aimait, j’avais rigolé … Nous nous connaissions depuis quinze jours et nous avions 15 ans. Quand Joanne m’avait dit qu’elle m’aimait, j’avais blanchi et j’étais devenue cruel. Je ne l’ai plus jamais revue. Quand Amber m’avait dit qu’il m’aimait, j’avais paniqué… complètement. Certainement parce que j’avais toujours su que j’étais incapable d’aimer. »

    « … Nous aurons des lits plein d’odeurs légères, des divans profonds comme des tombeaux, et d’étranges fleurs sur des étagères, écloses pour nous sous des cieux plus beaux. » Il referma avec précaution le bouquin qu’il lui avait tendu, posant doucement les yeux sur cet homme. Pourquoi aller plus loin?

    « Comprends-tu ?
    - Non.
    - Ton père est mort. »

    Son regard ne se voila pas, il ne détourna pas les yeux, ni ne pleura. Pourquoi faire ? D’un geste sur, il prit le petit canif sur la table avant de se jeter sur lui. Réaction typique d’un gamin tourmenté de seize ans. Réaction ratée vu que c’est Belial qui souffrit ce jour là. Il se fit claquer au mur d'une baffe magistrale. Plusieurs livres de la bibliothèque tombèrent autour de lui, la précieuse bibliothèque d’Eliot. Il n'avait même pas bougé, et il le regardait comme un docteur regarde son patient. Curieux, mais sans haine et sans rancœur. Ses yeux lui demandaient pourquoi cette attaque. Il ne le savait même pas lui-même. Il avait seize ans, et se comportait encore comme un gamin. Mais la mort de son père fut l’élément déclencheur. Eliot l’engageait à sortir de ce manoir, à vivre tout simplement. Il lui achetait tout ce qu’il voulait, il n'était pas vraiment un père, pas vraiment un tuteur juste quelqu'un comme un psy, quelqu'un d'important qui arrivait à le calmer. Enfin c’est ce que Lia pense. Il n’était jamais allé au lycée, il n'en connaissait pas les cours de récré, les gens fumant des cigarettes, les conversations de filles, les interrogations, les DS encore moins, il connaissait juste l'odeur des Gitanes qu’il fume, celle des Marlboro Light Menthol d’Eliot, et la drogue qui trainait dans la maison. Oui Belial était un gamin délinquant et dépravé. Sa chambre était devenue un hall de gare où se succédait fille et garçon sans nom, sans visage. Pourtant, après trois ans sans aller en cours, il fit la dernière année dans un lycée privé à Paris, loin de son ancien collège, hors de question de revoir son frère qui lui en voudrait parce qu’il aurait eu l’héritage et pas lui. Il eut son diplôme et parti. Parti faire son monde.

    Un Producteur : « Della Robia, la première fois que je le vis, ressemblait à une fille avec ses cheveux trop longs, son maquillage provoquant, et ses habilles de fille de joie. Mais son jeu d’action me laissa sans voix. Ce gamin avait du avoir la vie pourrie dès son enfance pour avoir une telle expression en jouant un gamin maladif des rues. »

    Ses débuts ne furent pas si durs que ça. Il y avait une audition sur Paris. Il y alla, les mains dans les poches, se présenta, reçu des regards dédaigneux quand à ses cheveux longs tressés, son maquillages noires, et son tatouages sur l’épaules, sans parler de ses piercings. On lui demanda de jouer un garçon des rues. On lui donna un texte et une demi-heure pour l’apprendre. On le balança presque sur les planches, et il joua. Il avait toujours été intrigué par le métier d’acteur, il avait participé à ce casting pour s’amuser. Il décrocha le premier rôle. Un petit film, mais le début de la gloire. Son jeu d’acteur plut au plus grand, il se retrouva à Hollywood, il se retrouva dans de grands films et les années passèrent. Il ne voulait juste pas changer son apparence, on ne le lui reprocha pas, il plaisait pour ça. On lui faisait jouer des rôles à son image, un mannequin dans une histoire de meurtre, un homme bien trop riche qui en avait marre de la vie, un général dans un futur, dans un monde imaginaire, tout s’enchainait, et ça ne lui dérangeait pas de ne plus avoir de temps libre. Son nom se fit une place parmi les plus grands, le mannequinat qu’il faisait entre deux films, aidant par ailleurs. D’ailleurs on se rappelle le plus souvent du photoshoot qu’il avait fait pour la promotion d’un film, portant le svastika de la Waffen-SS, vous savez le képi des généraux avec l’aigle et la croix nazi, on se rappelle sans mal des protestations, des hurlements, du dégoût que cela engagea. Mais il jouait un nazi dans le film, alors pourquoi ne pas la porter sur un photoshoot ? Enfin autant le dire, Della Robia s’est fait une place dans le monde d’Hollywood aussi bien au niveau acteur, que niveau mannequin, même si il préfère être sur les planches que porter des fringues qu’il n’aime guère. Mise à part, on suppose qu’il porte un cache œil suite à un accident qu’il aurait eu lors du tournage du film sur la seconde guerre mondiale, et qu’il serait aveugle de l’œil droit. Mais lui-même n’en parle pas, alors cessons les rumeurs.

    Enfin il n’a pas vraiment changé. Il est toujours drogué, à la cocaïne principalement, même si il se fait des fixes ou fument des substances illicites de temps à autres, sa chambre est toujours un hall de gare, et la musique reste sans doute son premier amour. Il est sans doute, voir peut être un peu plus calme, sans doute un peu moins méfiant, un peu moins fou, et peut-être aura-t-il des gens à qui il tient.

    Ici, il y aura un nouveau jeu.
    Ici, il y aura de nouveaux interdits.


    x CURSUS SCOLAIRE :Irrégulier. Trop irrégulier. Il a du faire sa dernière année, il a eu son bac, mais également trois ans de collège, et c'est tout. Pas glorieux, avouons-le.
    x MES AMIS : Amis, doit-il en avoir ? Il n'y croit que peu, la trahison lui ayant laissé un goût assez amère dans la bouche.
    x MES AMOURS : Tout ce qui bouge, qui ressemble à un humain et qui est potable, en fait pas grand chose niveau amour, plus des histoires d'un soir, sa chambre étant un vrai hall de gare depuis longtemps.
    x MES ENNEMIS : Pleins, sans doute, que se soit par jalousie pour sa réussite, ou encore sa famille, ou encore pour avoir couché avec la copine, ou le copain de ... Bref, il n'y va pas dans la demi-mesure, sans parler de son caractère qui n'a rien des plus sympathique.


Dernière édition par Belial Della Robia le Mar 22 Sep - 18:43, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Belial's World ____'   Belial's World ____' EmptyDim 20 Sep - 18:15

    x WORST THINGS ABOUT ME : Viré de son collège pour agressions physiques, fugue, tentative de suicide, comportement instable. Paresseux, drogué, quelque peu lunatique.
    x BEST THINGS ABOUT ME : Bon acteur, travailleur, n’hésite pas à se server de son apparence pour les films, ou les projets de mannequinat. Pas vraiment radin, n’hésite pas à donner plus d’argent qu’il n’en faut.
    x I ♥ IT ! : Sex, Drugs and Rock-&-Roll, principalement quoi que le mannequinat et le fait d'être acteur lui plait aussi.
    x I IT ! : Pleins de choses, monsieur n'aime pas grand chose, mais résumons ça en les Hypocrites & lèche-bottes, sans parler des profiteurs.
    x TICS & MANIES : Est-ce une manie de changer de coupes de cheveux comme de chemises ? Sinon on dira jouer avec ses mèches de cheveux, ou encore avec ses piercings.
    x I'M AFFRAID TO... : Revoir ceux qui l'ont trahis, son frère principalement.
    x JE ME DIFFÉRENCIE DES AUTRES PAR... ? Son apparence androgyne et décalé, sa façon d’être en permanence, son succès en temps qu’acteur et mannequin, ce dernier en moindre mesure.
    x CITATION FAVORITE : Les tragédies des autres sont toujours d'une banalité désespérante. ~ Oscar Wilde.



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- - - - - SOURIEZ VOUS ETES FILMES ! - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - .
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« Vous avez besoin de photos de types photo d'identité. Or, vous vous balader actuellement dans l'un des quartiers les plus huppés de Paris, et oh, que vois-je ? La boutique d'un photographe professionnel à votre droite. Ses tarifs sont corrects (pour un photographe professionnel, s'entend) et devant l'urgence à laquelle il vous faut ces photos, vous décidez d'entrer. Vous êtes alors reçus par un Metrosexuel maniéré : le photographe. »


« La réalité c'est l'illusion créée par l'absence de drogues. »
[Richard Desjardins]


    Il n'y avait pas à dire, il trouvait cette idée de photo d'identité stupide. D'ailleurs pourquoi ça ne marchait pas les photos des différents contrats qu'il avait eus ? Bon d'accord pas celle du film sur le nazisme, bon peut-être pas celle où il était dans une robe étrange type époque victorienne, avec son cache œil. Enfin, ce n'était pas si compliqué de pouvoir trouver une photo qui allait dans son book tout de même ? Et les photos dans les magazines n'allaient pas non plus, celles des avant-premières non plus. Qu'ils étaient compliqués au niveau de l'état. Il n'avait jamais fait de photo d'identité, et là il devait A-BSO-LU-MENT, je cite le crétin de la mairie qu'il en ait une sans maquillage, sans artifices, son visage dégagé. Impossible. Mais obligatoire. De plus, il se trouvait dans Paris XVIe, là où il habitait, donc ce n'était pas là qu'il y avait des photomatons. Et il devait rendre les papiers d'ici une heure, heure de fermeture de la mairie, qui était à environ un quart d'heure à pied, car ce n'était même pas la peine de prendre un taxi, vu les embouteillages dans Paris à cette heure. Bref, il était dans un pétrin pas possible, et comme tout gosse de riche, richissime, et hors d'atteinte, il ignorait tout simplement où trouver un photomaton. Génial. Soupirant, le jeune Della Robia, rejeta la mèche de cheveux qui se plaçait devant son visage avant de se remettre à avancer, finissant la cigarette qu'il avait commencé durant son appel à l'administration de la mairie. Il ne savait pas qu'il devait refaire sa carte d'identité, on ne lui avait pas dit, oui excuse bidon, mais vraie. Un pas, puis un autre, il n'y avait pas grand monde dans la rue, mise à part peut-être deux trois envieux qui bavaient sur les boutiques Channel ou Dior qui se trouvaient dans le coin, et dans lesquels ils ne pourraient jamais entrer. Et tandis qu'il ricanait presque silencieux, il vit une opportunité. Il avait carrément zappé qu'il y avait ce photographe dans cette rue, pourtant il était sur qu'il avait participé à la promotion photo d'un de ses films. Ne se souciant pas du prix des photos, ayant de toute façon les moyens après avoir hérité de la fortune de Papa, et des cachets dû à ses films ou ses pubs et autres dû au mannequinat, il poussa la porte qui tinta légèrement et s'arrêta surpris, le battement se refermant dans un bruit sourd derrière lui.

    Il avait carrément zappé l'apparence du photographe également, mais cela ne lui posa pas de problème. Tout comme le photographe, il prenait également soin de son apparence, donc que celui-ci soit qualifié de Metrosexuel, ne le dérangeait en rien. S'approchant, il le salua poliment avant de lui dire l'objet de sa venue, se retrouvant alors avec une tornade sur les bras lui proposant diverses tenues et diverses poses. Ce n'était pourtant que des photos d'identité, mais pris au jeu, il se laissa entrainer. Après un bon quart d'heure, car monsieur Belial avait dit qu'il était pressé, et que sa coiffure conviendrait, il se retrouva devant un miroir sur pied s'observant. Une poupée. Une photo, quelque chose qu'on n'ose toucher tellement ça semble cassable. Une poupée. Irréelle et pourtant là. Il était grand, environ le mètre quatre-vingt, et mince, un peu trop soupira-t-il en s'observant sous toutes les coutures. Une silhouette régulière assouplissant chacun de ses gestes lui donne une démarche svelte presque féline pour certains. Mais malgré tout, une faiblesse semblait tout de même l'occuper. Il était beau, certes, et d'une grande aisance, mais il n'est pas imposant. Bien heureusement. Ce jour là, ses cheveux qui étaient à l'origine noire, n'avait plus des mèches blondes au bout, non, non, il avait également oublié l'idée des dreads qu'il avait porté pendant un moment. Non ce jour là, ses cheveux Allongés jusqu'au milieu de son dos, étaient coupés dans un drôles de dégradés, dans un ensemble de mèche folle, le tout coiffé en une queue haute, lissés naturellement, plusieurs mèches s'échappant pour entourer son visage unifié. Ce dernier était poudré, presque trop blanc, et sans aucune impureté et ce naturellement. Vive les produits cosmétiques de la Jet Set. On pourrait facilement se demander si le jeune homme a ce délicat visage avec, ou sans artifices. Quoiqu'il en soit, ce visage angélique semblait alterner une mine soucieuse avec une grimace ironique, Belial s'amusant des mimiques de son visage. Un jeu de mimiques importantes. Chaque sourire, chaque regard, tout semblait minutieusement travaillé, comme tout comédien qui soit, comme si il était continuellement sur scène, continuellement à faire un spectacle. Il avait, sans s'en rendre réellement compte, le visage d'un adolescent qui aurait connu un peu trop rapidement les dures difficultés qui occupent la vie. C'est ce que lui avait dit son premier producteur, et il en avait ri. Accepte-t-il la réalité, ou cette excentricité traduit-elle ce manque de naturalisme ? Même lui ne le savait pas. Pourtant, chaque seconde, Belial montrait une apparence sombre quoi que joyeuse. Joyeuse ? Non n'allons pas jusque là. Des sourires animent son visage par fois. De victoire, de narcissisme, ou alors un rictus. Trop de personnalité, et extravagance qui énervent, il n'y a rien à dire, il aimait plaire, devant son miroir il en convenait. Attirer les regards, pour mieux jouer. Un art dont il ne se privait plus depuis longtemps.

    D'un geste presque innocent, il porta une main à son visage. Un visage, de forme ovale et aux traits fins et lisse, est surtout mis en valeur par de fines lèvres rosées. Ce sourire souvent narquois, à peine visible semblait être l'un des principaux atouts physiques du jeune homme. Les yeux en amandes, d'un noir jais, même si il adore les lentilles ambres, bleues ou violettes, tout y passe, mais aujourd'hui ils étaient noirs, le jeune homme semblait ne pas hésiter sur le maquillage, préférant un maquillage provoquant à un discret : Yeux assombris par un noir imposant, fard à paupière tout aussi charbonneux, et contour toujours appuyé, aussi bien que le naturel quand trop de flegme l'habitude. Aujourd'hui, il avait du démaquiller le tout. Photos d'identité, oblige. Mais qu'est-ce qu'il les maudissait ces foutus photos d'identité. Son regard semblait être expressif, et neutre, voir parfois un peu trop froid. Surtout là, quand il s'observait avec minutie. Mais élégant, même si il est plus souvent vide par trop d'excès qu'autre chose. Côté look, et pour approuver l'originalité de ce visage, l'héritier Della Robia semblait faire de son apparence un art. Encore aujourd'hui, il s'était battu avec le photographe se débarrassant de son pantalon en cuir moulant, et du débardeur gris qu'il portait, le pantalon retenu par plus de ceintures que nécessaire, pour une tenue pour plus conformiste, soit un jean troué de partout, une chemise à manche courte noire, ouverte sur un débardeur bordeaux, et de nombreux colliers qu'il avait refusé d'enlever. Il s'était également débarrassé de son cache œil, laissant voir son œil droit qui ne semblait pas si aveugle que ça, mais peut-être était-ce l'éclat des lumières de la pièce qui donnait cette impression. S'installant sur un tabouret, et délaissant ainsi son image, ses bottes en cuirs claquant sur le sol, il fixa alors l'objectif, se demandant si ça valait vraiment le coup de paraitre aussi naturel simplement pour des photos, mais il n'hésita pas, et les photos furent prisés, développés depuis un ordinateur et imprimé sur du papier photo, récupérant néanmoins les originaux, pour ne pas se retrouver en première page d'un journal quelconque. Repartant changé, et maquillé légèrement, lunette de soleil sur le nez, il réussit à donner les papiers voulus à la mairie, sous un regard admiratif de la fille du guichet, et puis finir tranquille sa journée de congés qui s'était transformé en journée de travail. Se faire prendre en photo était un travail pour lui, ça allait de soi. Mise à part qu'il adorait pourtant se voir sous de nouveaux jour. Belial, narcissique ? Oui vous avez mis les doigts dessus.


« Comme tout bon jeune à la mode que vous êtes, vous décidez de créer votre blog afin d'y exposer votre vie de débauche (ou pas HAHA.). Mais qui dit blog, dit présentation, n'est-ce pas ? Vous vous lancez donc dans un roman exposant les moindres recoins de votre personnalité. Que vous soyez la dernière salope en vue ou Mère Theresa, les internautes veulent tout savoir ! »

« C'est fou ce que ça peut faire comme impression, se sentir inutile au reste du monde.
Ça vous écrase mais en même temps ça vous libère. »

[Roger Fournier]


    Extrait de la présentation sur son blog.
    Il semblerait que ça soit une interview qu'il ait ressorti.
    Notons le côté ironique suite à la façon dont on le décrit.


    « Bonjour vous avez travaillé avec Monsieur Della Robia, pourriez-vous nous parlez de son caractère ? »

    Pour mettre un peu d’ordre dans ce bazar, vous remarquerez que je reste poli, on va d’abord étudier ce qui sera le plus long à décrire dans sa personnalité, à savoir ses défauts. Oui parce que personne n’est parfait, mais lui, il serait presque imparfait, enfin dans un certain point de vue, dans le sien il est la perfection même. Parfait dans son Imperfection. En lui se retrouve la passion des premiers matins du monde. Effronté comme il n'est pas possible, un caractère de chien, il observe et il juge sans retenance. Son insolence est parfois irritante mais on lui pardonne facilement son caractère à multiples facettes. Autant le dire, il donne l'impression de posséder un savoir caché, de tenir le livre de la vie. Introverti, il ne livre pas facilement ses secrets, ni celui de son âme. Il a parfois tendance à être acide et froid dans ses propos. A longue son caractère arrive à s'aigrir lorsque les échecs s'accumulent. Son comportement laisse souvent apparaître une double notion des choses. Il y a l'être extérieur, plein de majesté, avec un très beau port de tête, puis un être plus secret, sachant s'adapter merveilleusement aux évènements, même les plus déconcertants, encaissant les coups les plus rudes sans se départir d'une tranquillité rassurante sauf lorsque vient le moment de la vengeance. Il ne faut pas se laisser prendre à son apparence d'ange, car il cherchera à vous déconcerter par un comportement ambigu.

    Ensuite, il est plus ou moins manipulateur suivant son humeur, mais le pire dans tout cela, c’est qu’il n’a absolument aucun remord sur tout ce qu’il peut faire. Lorsqu’il a une idée dans la tête, il n’hésitera pas à commettre tous les crimes possibles et inimaginable pour aller jusqu’au bout. Parce qu’en plus, il est très têtu, et pour le faire changer d’avis, autant dire que c’est très loin d’être gagné… Non, en fait, on peut même dire que c’est perdu d’avance. Enfin bon, si ça vous amuse de perdre votre temps libre à vous de voir. Enfin, il se croit souvent au-dessus des règles dont il se fout totalement et est très désagréable avec les personnes qu’il considère inférieures à lui et autant dire que ça fait du monde. Il peut être froid et totalement ignorer la personne dite inférieure, tout comme il peut se montrer méchant voire même sadique avec cette personne. Mieux vaut donc s’en faire un ami si on veut un tant soit peu de paix. Mais là encore, ce n’est pas gagné. Parce qu’il n’accorde pas sa confiance à tout le monde. Pour lui, la confiance doit se mériter, et seuls ceux qui parviennent à lui prouver qu’ils sont son égal pourraient l’avoir. De plus, s’il considère qu’une personne ne mérite pas son attention, cette dernière pourrait tenter tout ce qu’elle voudrait, elle n’arriverait même pas à le faire sortir de ses gongs. Comme quoi, il a un minimum de contrôle de lui-même ! Néanmoins, attention. Ce n’est pas parce qu’il semble gentil avec vous qu’il vous considère comme son égal. Car c’est également un hypocrite qui cache très bien ses sentiments et c’est aussi un très bon comédien, normal il est acteur. Il faudrait presque être un empathique pour arriver à deviner ce qu’il ressent ou pense réellement.

    « Ce n'est pas un très beau portrait que vous nous faites de lui ... »

    Et ce n'est pas fini !! Pour couronner le tout, il est extrêmement distrait. Quand il est dans la lune et qu’il ne regarde qu’à moitié ce qu’il est en train de faire, c’est une véritable calamité ambulante. Et la plupart du temps, tout ce qu’il trouve à dire dans ces moments-là, c’est « oh… Dommage, il était joli ce verre… » Et autres variantes. D’ailleurs, cette attitude, qui lui donne comme un petit air rêveur, a tendance à faire penser aux gens qui le croisent qu’il n’est pas très dynamique. Mais ça lui arrive surtout quand il n’est pas très réveillé ou quand il est fatigué. Le seul moment où il n’est pas ainsi, c’est avant les repas quand il a faim. Là, il serait probablement capable de courir un marathon rien que pour manger. Et il ne faut surtout pas toucher à sa nourriture, n’étant absolument pas partageur, et détestant qu’on lui pique le pain de la bouche comme qui dirait. Mais si jamais il est trop affamé, il devient alors une loque ambulante. Il faut aussi préciser qu’il est assez paresseux et qu’il fait rarement les choses gratuitement. Pour stimuler son intérêt, il faut qu’il y voie un gain pour lui, sinon, vous pouvez être sûr qu’il ne lèvera pas le petit doigt.

    « Vous ne semblez pas le tenir en haute estime, ne pourriez vous pas lui trouver une qualité ? »

    Justement, j'allais y venir, passons maintenant à ses qualités ! … Euh … En fait, non. On va plutôt dire les bons côtés de sa personnalité, parce que les qualités, ce n’est pas très approprié comme terme … Vous comprendrez la nuance en lisant. Déjà, avec une jolie personne qui cuisine bien, fille ou garçon, plus besoin de rappeler que Belial Della Robia est bisexuel, il est capable d’être parfaitement aux petits soins avec elle, pour peu qu’elle lui fasse de quoi manger quand il en a envie. Comme quoi, même s’il est hypocrite, il est possible d’avoir le dessus sur lui avec un peu de nourriture dans ses heures de creux. Et puis selon certains, sa façon d’être quasiment en permanence comme absent lui donne un petit air mignon et attachant. Enfin… Je doute que beaucoup de monde veuille s’attacher à lui quand même. Après, on pourrait croire que c’est un gentil garçon qui rend service aux autres… Mais il ne faut pas trop s’y fier, en vérité, c’est souvent pour faire du chantage ou pour payer une éventuelle dette. Oh ! Honte à moi ! Je déballe tous ses défauts et j’oublie sa qualité, la seule qu’il a, il faut l’avouer… Malgré tout ce qui est cité au-dessus, lorsqu’il fait une promesse il la tient toujours. Il est donc honnête ! Mais l’honnêteté qui sort de sa bouche donc la franchise … est rarement une qualité quand même… Toute vérité n’est pas toujours bonne à dire.

    « Et sinon ? Il n'y a vraiment rien d'autre pour redorer son image ? »

    Ah et bien, quoi ? Sinon que Belial a une intelligence profonde, assez souterraine. Il a un sens très poussé de l'analyse. C'est un observateur, parfois sans pitié. Il est curieux de nature et possède une grande mémoire. La sensorialité, le dernier atout de son jeu. Il trouble les personnes qui ne savent plus très bien à qui ils ont affaires. Qui peut bien se cacher derrière cet être déroutant dont la beauté froide surprend et intrigue ? Maître de ses sens, androgyne par certains aspects de sa personnalité, réservé, il n'est pas toujours d'un abord très facile. Il est changeant, moins par frivolité que par désir de rester indépendant et libre. Conclusion, il ne conviendrait de dire que Lawrence donne l'impression d'être l'un de ces types de caractère qui est animé par un machiavélisme féroce. Non c'est un être remarquable d'une puissance étonnante et qui ne cessera, tout au long de son existence, de provoquer les plus vives passions ou les plus redoutables critiques. Mais n'est ce pas cela la vie ? N'est pas la réussite ? Être craint et respecté ou aimé et apprécié.

    « Bref. En résumé, ce personnage est un véritable cas social. A quand l’enfermement ? »
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MessageSujet: Re: Belial's World ____'   Belial's World ____' EmptyDim 20 Sep - 18:16

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- - - - - PSYCHO TEST - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - .
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    x LA DROGUE ET VOUS C'EST...
    [ ] JAMAIS DE LA VIE, CA VA PAS LA TETE ? : O
    [] HAHA.... I Love it... ♥
    [ ] Pas spécialement mon truc, mais dans des soirées, comme ça...
    [ ] C'est mon gagne pain, mec.

    x JE BOIS...
    [ ] Un peu.
    [ ] Beaucoup.
    [] Passionnément.
    [ ] A la folie.
    [ ] Pas du tout !

    x VOUS VOUS PROMENEZ ET VOUS CROISEZ UNE PAUVRE TORTUE COINCÉE SUR LE DOS. ELLE N'ARRIVE PAS A SE REMETTRE SUR SES PATTES, QUE FAITES VOUS ?
    [ ] Je la retourne délicatement, puis l'encourage à reprendre sa route.
    [ ] Je la laisse crever, elle avait qu'à pas être aussi débile.
    [] Quelle Tortue ?
    [ ] Je chronomètre le temps qu'elle met à crever.

    x VOUS REGARDEZ TRANQUILLEMENT LES NUAGES, DANS UN PARC. VOS NUAGES A VOUS ONT LA FORME DE...
    [ ] D'un Dragon !!!! *w*
    [ ] Euh... Une forme ? Vous avez fumé quoi ?
    [ ] Une boule de coton
    [ ] Un Milkshake à la framboise
    [ ] J'ai pas le temps pour ça, merci !
    [] Si je vous disais ce que je voyais, cela risquerait de vous choquer.... (:

    x CHEZ MOI L'ARGENT, C'EST...
    [ ] Une vraie préoccupation, j'arrive jamais à payer mon loyer !
    [ ] Un moyen d'arriver à mes fins.
    [] Quelque chose dont je me sers pour essuyer les taches. Je suis pas à 500€ près !
    [ ] La récompense de mon dur labeur.

    x BONNE MUSIQUE RIME AVEC...
    [ ] Rap, R'n'B.... La musique à la mode quoi !
    [ ] Du bon vieux rock des années 80.
    [ ] L'électro et la dance, CA ça bouge !
    [ ] Le bon son bien bourrin pendant que j'agite ma tignasse èwé\m/
    [] Autre : La musique qui vient de mon Pays Natal, en gros du Visual Kei <3

    x SORTIE ENTRE AMIS. TOUT LE MONDE A FAIM, VOUS VOUS ARRETEZ DANS UN CAFE, VOUS COMMANDEZ...
    [ ] Bah... un café. Puisqu'on est dans un CAFE ! Dunaze !
    [ ] Un bon chocolat viennois avec BEAUCOUP de chantilly et une viennoiserie! ♥
    [ ] De l'eau. Je suis au régime.
    [] Un cocktail alcoolisé, même si il est 11h (:
    [ ] Une boisson énergisante pour avoir la pêêêêcheeeeeeeeeeeeeeeeeuh ~


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- - - - - HORS JEU - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - .
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    x PAYS : France.
    x COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM ? Demande de partenariat sur mon fow, d'ailleurs je pense qu'il sera accepter, mais c'est l'admin principal qui décide ça, pas mwa >w<.
    x DES REMARQUES ? Par pitié, enlevez les liens de pubs qui s'affichent dans les messages, à me stresse @__@. Sinon faudrait fixer la bann, ça ferait plus jolie que de la voir descendre avec le forum =). Et avec les liens en roses, on voit pas trop >.<
    x CODE RÈGLEMENT : [OK]
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MessageSujet: Re: Belial's World ____'   Belial's World ____' EmptyDim 20 Sep - 21:07

Bienvenuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu \*w*/

Magnifique fiche, personnage intéressant... ♥

Validé !


Pour la bannière, je crois que je sais pas comment on fait ô.o Faut que je cherche :x
Et le design est pas tout à fait fini, je suis partie en cours (_ _);;;
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MessageSujet: Re: Belial's World ____'   Belial's World ____' EmptyDim 20 Sep - 21:12

    Merciiii ♥
    Bien sur que mon perso est intéressant, c'est le mien x3
    *OUT*

    Pour la bannière en fait, c'est au niveau de la gestion des images, y'a un trucs à cocher je crois Oo
    J'ai vu que c'était en cours, t'inquiète <3
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MessageSujet: Re: Belial's World ____'   Belial's World ____' EmptyDim 20 Sep - 21:18

La case à cocher donne pareil que ce qu'il y avait avant \o;/
*est nulle ;w;*

M'enfin bon, Bon RP parmi nous :33
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MessageSujet: Re: Belial's World ____'   Belial's World ____' EmptyDim 20 Sep - 21:29

    Strange xD
    *regarde de son côté*
    Ma bann est dans le fond, incrusté, et j'ai pas coché la case OO
    Alors je comprend pas trop =/

    Merki beaucoup ♥
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MessageSujet: Re: Belial's World ____'   Belial's World ____' EmptyDim 20 Sep - 21:35

Je vais chercher comme la graaaaaaaaaaaaaaaande fille que je suis èwé (j'me demande si faut pas looker du coté des CSS \o;/)

Bref, je déplace la fiche dans les registres uwu
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MessageSujet: Re: Belial's World ____'   Belial's World ____' EmptyMar 22 Sep - 13:20

HAN *p*

C'est un peu tard pour le dire mais OSEF (j'suis admin j'fais c'que j'veux HAHA *sort*)
Très belle fiche en tout cas ♥ ~

(haha notre premier membre c'est déjà un ouf, si c'est pas motivant ça °D°)
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MessageSujet: Re: Belial's World ____'   Belial's World ____' EmptyMar 22 Sep - 18:05

    Mouuuh ♥

    "Une" xD, je suis une fille en fait =)
    *cassage de mythe xD*

    *dehors*

    Mais merciii <3
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MessageSujet: Re: Belial's World ____'   Belial's World ____' EmptyMar 22 Sep - 23:13

Je m'en doutais XD (mais je disais premier* en faisant une généralité '-')
Je me reprends donc: Première membre qu'a trop la classe MWUAHAHAH
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MessageSujet: Re: Belial's World ____'   Belial's World ____' EmptyMar 22 Sep - 23:26

    Merci merciiii ♥

    *s'incline sous les applaudissements*


    *si vous me cherchez je suis dehors =)*
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