LAST DAY_.
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Last-Day. « Jeunesse Dépravée » .
 
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 I've Got a Really BAD Disease. { WITH BELIAL -

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Andréas MacCarter
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MessageSujet: I've Got a Really BAD Disease. { WITH BELIAL -   I've Got a Really BAD Disease. { WITH BELIAL - EmptyLun 21 Sep - 21:41

- I've got a really bad disease It's got me begging On my hands and knees. So take me to emergency 'Cause something seems to be missing ~



Le son se répercutait sur les murs du petit café. Assez haut de plafond, biscornu et aux multiples étages, le café au croisement de la rue était quelque peu... Étrange. Il ne ressemblait pas à tous les cafés parisiens. Le genre bistrot, avec un bar, le mobilier en bois, des banquettes en cuir rouge et une lumière jaune, tamisée, presque chimique.; tout ça, ce n'était pas ce petit café que la jeune fille aimait. SON café, celui auquel elle se rendait souvent le matin pour prendre son petit déjeuné, celui dans lequel elle donnait ses interview quand elle n'avait pas envie de se déplacer était très loin de cette image des cafés parisiens. Très très TRES loin.
Son café, à elle, était clair, déjà. Pas de cette lumière tamisée, qui donnait l'impression qu'il était déjà Dix-huit heures du soir, pas non plus de ces abats-jour monstrueux d'un autre age. Ici, la lumière était blanche et les fenêtre hautes et grandes, laissant passer la lumière de Paris (autrement dit, peu de lumière (: *BING*). Ses devantures étaient de grande baies vitrées montant jusqu'au deuxième étage, offrant alors une vue pas possible sur toute la place qui s'étendait à ses pieds. Pleins de coin et de recoin, ce qu'il y avait de bien avec le BADA-BOOM, c'était qu'il offrait, malgré le fait que ce soit un endroit public, une intimité qu'on ne trouvait pas partout.

Et Andréas avant sa table à elle. Située dans l'un des recoins à l'extrémité de la baie vitrée, elle avait vue à la fois sur la place et sur la petite rue qui partait sur sa gauche. Petite table ronde au deuxième étage, elle était entourée par une banquette bleue turquoise en imitation de velours (pas de rouge, pas de cuir, notez bien la différence <3) moelleuse à souhait, dans laquelle vous vous enfonciez et n'aviez pas mal au fesses après être là depuis des heures. Andréas aimait venir ici. Elle se sentait comme chez elle, dans cet endroit de couleurs bleue, rose, orange, jaune, verte, tout doux, tout mou... Et puis cette table. Cette table QUOI ! On se serait cru dans une des tasses de Disneyland Paris, ces tasses qui donnaient le mal de cœur à quiconque montant dedans (ou presque). En parlant de Disneyland Paris, Andréas s'y rendrait bien là... Il fallait qu'elle se débrouille pour chopper des places. Ou mieux. Qu'elle le fasse marcher rien que pour elle èwé ~ Bref, elle verrait ça plus tard.

Maintenant, vous devez vous demander : Mais que fait donc cette jeune fille riche comme deux fois Crésus, dans un petit café apprécié par une sélection de gens, dans un quartier banale de Paris aux alentours de onze heures ? J'y viens mon vieux, j'y viens.
Aujourd'hui, Andréas travaillait. Oui, bon, ça pourrait ête pire, je vous l'accorde, mais toujours était-il qu'elle se retrouvait là à cette heure bien matinale (pour elle). Obligée de se lever à Dix heures, vous vous rendez compte ?! C'est pas une vie ça, moi je vous le dis !
Lorsque son réveil avait sonné ce matin là, la jeune femme avait laissé entendre un grognement sonore avant de l'éteindre d'un coup de poing. Et s'était rendormie, bien sure. HAHA. Vous pensiez à quoi ? Ce n'était qu'une bonne demie heure plus tard, que dans son esprit avait germé l'idée qu'elle devait peut-être se lever, car elle avait un rendez vous. Peut-être j'ai bien dit.

Debout d'une pression de jambe, Andréas avait alors commencé la ronde de toutes ces matinées où elle devait se lever "tôt" et où elle envoyait son réveil valser ou qu'elle l'éteignait de façon délicate, comme ce matin là. Elle avait couru vers la douche, ne s'affolant pas plus que ça, mais pressant le pas tout de même. Le retard, elle détestait ça. Elle exigeait que les autres soient à l'heure, alors faisait TOUT ce qu'elle pouvait pour être à l'heure dite, voir même quelques minutes en avances. Lavée en dix minutes, habillée en cinq, la demoiselle MacCarter jeta un regard à son son double dans le miroir, voir si elle était au moins un minimum présentable. Une robe bustier noire s'arrêtant à mi-cuisse, avec volants; une chemises à carreaux violette et blanche par dessus, manches recourbées; Ses doc Martens violettes, et le tour était joué. Ses cheveux à peine peignés, remontés en une queue de cheval faite à l'arrache, des mèches de cheveux oubliées; elle traça un trait de crayon noir, gras, autour de ses yeux, avait d'y ajouter un trait violet, à l'intérieur. Un coup de baume pour les lèvres gout framboise, et Hop ~ Elle était prête.

En à peine trois minutes, Andréas était sur les lieux. Elle avait salué tout le personnel (qu'elle connaissait depuis le temps) et avait grimpé les marches, leeeentement, jusqu'à sa table. Là, elle s'était laissée tomber mollement sur l'une des extrémités de la banquette circulaire et s'était à moitié trainée jusqu'en son centre, avant de laisser tomber sa tête sur la table, parfaitement propre en poussant un grognement sonore, le deuxième de la journée. Alors qu'elle se demandait ce qu'elle pouvait bien faire là à une heure pareil, Elle sentit la table s'affaiser quelque peu. D'un mouvement de tête, elle regarda le nouvel arrivant, croisant un regard bleu azur. Alexandre.

Alexandre était le Patron de BADA-BOOM. Il avait ouvert il y avait plusieurs mois, et Andréas avait tout de suite accrochée. A présent, ils étaient de bon amis, la jeune fille passant ici presque tous les jours.
Et si Alexandre n'avait pas eut la quarantaine, il aurait été tout à fait du goût de la jeune fille uwu. Grand, svelte mais musclé; Malgré ses rides naissantes il restait un bel homme. Un bel homme qui la regardait d'un air TRÈS amusé.
Troisième grognement de la mâtiné, Andréas communiquait alors son mécontentement quand au sourire narquois qui se trouvait sur le visage du bel-homme-mais-trop-vieux.


« On s'est couché tard, mademoiselle ? (:
- Mmmmmh.... Alex, arrête de te foutre de ma gueule x_x; »


Bref échange, comme ils les aimaient tous les deux. Sans mots superflus, mais plaisantins et plaisant.


« Bon, comme d'hab' je suppose, Andy ?
- Ouais... Et Rajoutes-y un café aussi s'il te plait! .... Fort. »


Devant la tête que faisait son interlocuteur (le genre > O____________________O), Andréas cru bon de préciser qu'il ne devait pas lésiner sur la dose. Mais il fallait avouer que le café et la jeune fille ça faisait au moins Quatre-vingt dix multiplié par trente ! Il finit par capituler sous l'insistance de A., repartant vers les cuisines des « d'accord » pleins la bouche.
Andréas jeta un oeil à l'horloge manufacturée qui se trouvait au mur. Dix heures Cinquante cinq. Dans cinq minutes (bon, dix, elle commençait à le connaitre), IL allait arriver. Elle souffla, souriant à moitié. L'affrontement allait commencer. Elle s'adossa à la banquette et releva ses jambes en tailleur, ayant pris soin de laisser ses doc au sol, ne voulant pas salir. Elle se tapotta les cuisses puis braqua son regard sur l'extérieur. Il ne lui restait plus qu'à attendre son petit déjeuner, son café (beurk !) et son invité surprise.

Rien que d'y penser, elle souriait. Il ne savait que c'était ELLE qui allait l'interviewer. Il aurait du s'en douter pourtant, avant d'accepter... Rien que d'imaginer sa réaction, Andréas en jouissait presque. Elle farfouilla dans son sac, et en sorti un bloc note, ainsi qu'un enregistreur. Elle était prête à présent. Et la musique retentissait toujours dans le petit Café.



Tonight we'll touch And they won't know. I know you're dying To take off your clothes.
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Belial Della Robia
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MessageSujet: Re: I've Got a Really BAD Disease. { WITH BELIAL -   I've Got a Really BAD Disease. { WITH BELIAL - EmptyLun 21 Sep - 23:20

    I am your good tool. How much do your buy us for ?
    Let's negotiate, Value of the pain... ♫


    Il y a des jours qui commencent mal, et d'autres qui commencent bien, hélas pour Belial, cette journée commença mal, un peu trop même. La nuit avait été horrible. Non pire qu'horrible, insatisfaisante. Le genre de nuit où il fait chaud, même si une fenêtre est grande ouverte, vous n’êtes pas confortable. Le genre de nuit où on se retourne, tourne, pour chercher une position... À moitié endormi. Le genre de nuit où dès qu'on arrive à piquer quelques heures de sommeil, une panoplie de cauchemars viennent gâcher les foutues heures que vous essayez de récupérer. Ouais, le genre de nuit où y'a rien à faire à part que de se lever pour rester devant la fenêtre à se faire chier, jusqu'à ce que le matin arrive. Après avoir passé ce genre de nuit, très tôt le matin, Belial était sur le dos depuis une bonne dizaine de minutes, il avait cru enfin réussir à s'endormir. En fait, il était sur le point. Mais il était peut-être carrément paranoïaque cette nuit là, parce que tout le dérangeait. Il entendait… Il entendait les bruits des voitures dehors ... Les voix des gens de l'hôtel, et bien d'autres bruits encore. Il se retournait. Vers la droite cette fois, il était sur que ça allait être la bonne. Puis, dans une nouvelle tentative de dormir, il s'écrasa l'oreiller sur la tête, se bouchant les deux oreilles à la fois. Allez, tourne encore un peu. Si seulement, Si ... Bang. Si seulement il n'avait pas rencontré le sol si brutalement, il aurait peut-être eut encore une mince chance de s'endormir. Le jeune homme laissa un gémissement surpris s'échapper de ses lèvres, avant de grimacer de douleur lorsque son derrière toucha le sol. Ça y est. Plus de chance.

    Se lever la tête en feu en hurlant presque. Satanée cauchemar oui. Soupirant, le jeune homme balança les couvertures à l'autre bout de la pièce en sueur. C'est passé quoi la nuit dernière ? Première question insipide et sans intérêt de la journée. Regard dans la pièce qui lui sert de suite, n'ayant pas eu le courage d'aller jusqu'à sa villa vide de sens. Ses fringues au sol, la pièce dans un bazar pas possible, ce n’est pas vrai alors il l'avait vraiment ramené ? Il se souvenait de ce gars en boite, et aussi de ses regards langoureux ? Merde. Premier mot d'une série de jurons mentaux et la suite ne valait pas grand chose non plus. Du genre espèce d'incapable bourré ne sachant pas retenir ses pulsions. Ce n’était pas de sa faute ce jour là, enfin hier. L'autre était mignon, gentil, ils avaient parlé et ils étaient rentrés jusqu'à chez lui, enfin jusqu'au Ritz, et après avoir bu une bouteille ou deux, trois traits de coke par ci, par là, ça s'était fait naturellement. Et il était où l'autre à présent ? Le nippon, faux mais ne disons rien, se releva en boxer, au moins il n’avait pas perdu sa dignité pour dormir à poil. Il observa la pièce, plus de vêtements, une serviette sur le fauteuil, sur la table, ses bijoux à lui, son portable et ses autres affaires personnelles. Et un message, une écriture masculine qui n'avait rien avoir avec la sienne. « J'ai adoré Chéri, rappelle moi quand tu veux. » Et à la suite un numéro. Sans attendre il chiffonna le papier avant de le mettre dans le cendrier où s’entassaient plusieurs clopes. Génial, ça faisait vraiment after, mais en plus personnel. Soupirant il alla jusqu'à la salle de bain avant de prendre une bonne douche d'où il en sortit une bonne demi-heure plus tard, regardant l'heure. 10h15. Ca allait en plus en y repensant, aujourd'hui il ne devait pas travailler, il n'avait pas de photoshoot, il devait juste passer à l'agence en fin d'aprèm ... Rien de bien important en soit.

    Un sourire aux lèvres il alla jusqu'à son dressing, oui la suite était à son nom, oui on était au bien Ritz, oui il avait bien sa villa perso dans Paris également, non il n'a pas volé cet argent, non il ne s'affiche pas vous rêvez. Sourire sarcastique, ramassant ses fringues au passage pour les laisser dans un panier de linges sales, il eut comme un soupir fasse à la journée ennuyeuse. S'arrêtant un instant, il passa alors une chemise par dessus son boxer avant de trouver son paquet de clope sur la table à côté de sa bague Vivienne et de son briquet à clapet en argent de la même marque. Il sortit alors une gitane avant de la porter à ses lèvres l'allumant sans mal. La première bouffée lui fit du bien, la deuxième lui rappela qu'il était dans sa chambre d'hôtel et qu'il n'avait sûrement pas le droit d'infester la pièce, et la troisième qu'il ne devait pas mourir asphyxier avant sa mort. Il s'approcha enfin de la baie vitrée qu'il ouvrit en grand, laissant le vent s'engouffrer dans la pièce tandis qu'il sortait sur le balcon, non maquillé, en chemise et boxer, clope au bec. Sourire aux lèvres il se laissa prendre au jeu de voir ses cheveux agir comme bon leur semblaient avec le vent avant de s'appuyer contre la balustrade portant une de ses mais à son visage pour dégager ses cheveux et pouvoir tirer une bouffée de sa cigarette tranquillement, observant l'autre côté de la rue. Inintéressant. Téléphone qui sonne, il avait pris soin de le prendre avec lui. Il le décroche d'une main avant de le bloquer entre son épaule et son oreille. Mauvais choix. Début de conversation. Monosyllabe de l'autre. Ennui, ennui quand tu nous tiens.

    « Shut Up ...
    - Ne te met pas à parler Anglais Della Robia !!
    - Alors arrêtes de m'hurler dans les oreilles.
    - Va juste à ce foutu rendez-vous, tu sais combien de personnes te courent après ? On t'a dégotté un bon magazine, fait pas l'idiot. »


    Oui, oui. Encore deux trois banalités avant de raccrocher et de retourner à sa contemplation. Il se contentait de l'observer cette rue fumant sa cigarette tranquillement. Il n'était pas frileux. Il ne l'avait jamais été, déjà jeune il passait ses nuits dehors, parfois sous la pluie donc forcément ça aide. Un sourire narquois vint. Tant pis, un soupir, il se contenta d'en allumer une nouvelle regardant le cendrier posé sur la table du balcon. Donc hier il avait été dehors aussi. C'est fou comment des objets lui rendait la mémoire, en fait il s'en souvenait c'était juste le réveil qu'il fallait encaisser. Toujours dur le matin. Et puis il rentra. Ses clopes fumées, il n'avait plus rien à faire dehors. Virant sa chemise il chercha de quoi s'habiller. Ne cherchait pas il est contradictoire. Une chemise qui lui plaisait il n'y a même pas une bon quart d'heure ne lui plaisait plus à présent. Quoi que. Non. La chemise noire vola, en échange d'un tee-shirt blanc, par dessus un jean serré noir, avec seulement les genoux troués. Une ceinture blanche clouté, une paire de chaussures trop chère pour vois, il prit néanmoins une veste blanche, avant de passer un foulard noire à motifs blanc autour de son cou, faisant un nœud lâche au niveau de sa poitrine. Qu'est-ce qu'il avait pu oublier ? Le maquillage. Retour vers la salle de bain, quelque chose de léger pour une fois, ses cheveux aux naturels, les laissant aller comme ils le voulaient, non attachés, les mèches noires se confondant avec des restes de mèches blondes. Et le cache oeil. Il farfouille un instant une boite à bijou pour en retirer un noir avec des arabesques blanches, qu'il positionne d'un geste habituel, nouant celui-ci au niveau entre quelques mèches de cheveux, cachant ainsi la ficelle partiellement. Regard sur la montre au poignet. 10h47. Pas en retard. Bague Vivienne au doigt, portable dans la poche arrière de son jeans, Ipod aux oreilles, clopes et briquet dans une des poches avant, l'asiatique sortit en ferma la porte avec ses clefs qu'il avait laissé traîner dans l'entrée de la suite. Le chemin se fit sous une musique lancinante.

    Paris. Comme il aimait cette ville et comme il la détestait à la fois. Si banale et extraordinaire à la fois. Et comme c'était si simple pour lui de passer à travers tous les passants sans qu'on hurle que Della Robia marchait dans Paris sans escorte, sans chauffeur, sans manager, bref accessible. Il lui avait suffi d'une paire de Lunette, Gucci je vous prie, de laisser ses cheveux détachés, et il passait facilement pour une fille dans la rue, plate mais une fille tout de même. Bizarre avec un piercing au labret, un au nez, et un à l'arcade sans parler du nombre impressionnant qu'il y avait au niveau de ses oreilles, souvenirs d'un passé décadent, tout autant que son présent. Non il passait bel et bien pour une fille. Il en avait même eu la confirmation quand un passant s'était adressé à lui en l'appelant mademoiselle pour lui demander une clope, qu'il lui donna, un sourire ironique aux lèvres, se disant que son côté androgyne allait lui jouer un tour à force. Il avait rendez-vous dans un café, pas trop loin. Il y serait un peu en retard, mais les stars ne se font-elles donc pas prier ? Si ? Et bien Belial était une star, ça réglait le problème. D'ailleurs il était juste onze heure et sept minutes quand il passa la porte. Cherchant des yeux et de derrière ses lunettes qui pouvait bien être la personne avec qui il avait rendez-vous, il ne prêta même pas attention à l'ambiance du café. Non son regard se figea simplement sur une silhouette plus que connu. Non. Non, non et non. Il n'avait pas osé lui faire ça quand même ? Et bien si. Demi-tour. Il s'essaya, mais la jeune femme l'avait bien vu. Faire semblant de rien ? Non c'était se mettre le manager et le producteur du film à dos. Mauvais, mauvais. Allons en enfer gaiement. Pourquoi de tous les magazines, avait-il fallu qu'on choisisse le sien, à elle, à Andréas MacCarter ? On pouvait lui dire pourquoi ? S'avançant de mauvaise grâce, il se laissa tomber sur la banquette en face de la jeune fille ne daignant même pas enlever ses lunettes, ou encore dire le moindre bonjour. Ca ne serait pas lui qui craquerait. Oh non, ma jolie, même pas en rêve.

    Attrape-moi si tu l'oses.
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Andréas MacCarter
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MessageSujet: Re: I've Got a Really BAD Disease. { WITH BELIAL -   I've Got a Really BAD Disease. { WITH BELIAL - EmptyMar 22 Sep - 18:42

HAHA. Ce mec, elle l'aimait finalement. Sa compagnie était toujours hautement distrayante, mouvementée, dingue, mais distrayante. Il n'était pas du genre à répondre de façon insipide, selon le politiquement correcte. Il ne répondait pas de façon correcte tout court d'ailleurs. Pour cela, Andréas l'avait en estime : il ne cherchait pas à donner une image de lui qui était fausse. Les simagrées, chochotteries et autres choses du sentimentalisme, il les laissait au placard et pratiquait le franc parlé. Un vrai moment de BON-HEUR. Quand on ne prenait pas en compte le fait que Belial était fatiguant. Du genre très fatiguant. Il ne bougeait pas dans tous les sens en hurlant, non; Lui il fatiguait l'esprit car l'affrontement était inévitable. On ne pouvait PAS ne pas entrer en conflit avec lui. Ou en tous cas Andréas ne pouvait pas. A croire qu'ils avaient des caractères qui allaient ensemble, HAHA.

En tous cas, lorsqu'elle le vit franchir le pas de la porte et tourner la tête vers elle, son sourire s'était élargi. Aujourd'hui, c'était elle qui le piégeait, chacun son tour mon coco. Et bien entendu, il ne l'avait ABSO-LU-MENT pas déçue ♥
A peine l'avait-il aperçu qu'il avait entamé un demi tour, avant de se stopper net. Surement avait-il entamer un combat mental entre sa conscience et son envie de déguerpir, songea la jeune fille. En tous cas, il marqua quelques secondes d'arrêt avant de reprendre le bon chemin, c-à-dire celui menant à la salle d'interrogatoire. Oui, bon, on pouvait faire pire dans le genre, mais on allait pas chipoter. Belial posa son fessier sur le bord de la banquette, en face de la jeune fille qui le regardait toujours avec un énorme sourire.
Car Andréas comptait bien s'amuser, non de Dieu-en-qui-elle-ne-croyait pas. Elle le méritait.
La veille au soir, alors qu'elle se prélassait tranquillement dans son bain, quelqu'un était venu frapper à sa porte, la coupant en plein milieu de sa phase "je chante en dansant à moitié dans l'eau". Elle avait d'abord soupiré avant de braquer son regard sur la porte, en lançant l'ordre d'entrer. Casey poussa alors la porte et vint s'accroupir au bord de la baignoire, Andréas attendant qu'elle lui annonce la raison de son intrusion lors d'un moment aussi intime (Genre c'était la première fois que Casey entrait dans la salle de bain alors qu'elle prenait sa douche...).

C'était toujours son amie qui prenait ses rendez vous. Elle avait pour cela deux portable, un personnel et un spécial pour le boulot. N'allez pas croire qu'on avait le no. de téléphone portable de la directrice de SHOW YOUR LIFE ou de son assistante aussi facilement. Vous vous seriez fourré le doigt dans l'œil jusqu'au coude. Bref, Casey entrait donc souvent dans la salle de bain d'Andy afin de l'informer des rendez vous de dernière minute qu'elle pouvait avoir. Et le fait que Casey soit toujours fourré chez elle, ça arrangeait bien les choses.
En tous cas, hier Casey avait fait irruption afin de la prévenir qu'elle devait interviewer Belial Della Robia (ce qui avait tout de suite fait sourire la directrice), afin de faire de la promotion pour son dernier film. Andréas n'avait pas cherché plus loin. Après avoir entendu "Belial", il était clair et net qu'elle allait s'en occuper de cette interview. Et qu'il se sente honorer le jeune acteur.
Cette nuit là, Andréas avait magnifiquement dormi ♥

La tête posée sur ses mains croisés, les coudes sur la table, Andréas observait Belial qui semblait... Bouder. Toujours a l'extrémité de la banquette, il n'avait même pas pris la peine de retirer ses lunettes de Soleil. Son petit sourire toujours au coin des lèvres, Andréas ne le lachait pas du regard.


« Bonjour Belial. Tu sais, je crois que si tu enlevais tes lunettes de Soleil, tu ne risquerais pas trop d'être ébloui... »

Elle faillit ajouter quelque chose sur le fait que c'était peut-être elle qui l'éblouissait à ce point (ce qui la fit encore plus sourire), mais elle se contint, décidant que de l'attaquer comme ça d'entrer n'était peut-être pas le mieux... Elle SAVAIT qu'ils allaient finir par reprendre le jeu là où ils l'avaient laissé de toutes manières. Et c'était à son tour de poser la question, d'ailleurs, de la veine pour elle et son interview. Car elle savait aussi qu'il ne manquerait pas de la remettre au défi pour la moindre petite question (et surement pour toutes celles qui allaient suivre), s'amusant à lui faire faire des trucs plus dingues les uns que les autres. Et il était HORS de question qu'elle cède.

Depuis quand Belial et Andréas jouaient-ils a ce jeu ? Depuis un moment déjà. Peut-être six-mois ? Andréas se souvenait comment cela avait commencé, mais pas vraiment quand... Elle se trouvait, ce jour là, assise a une table très différente de celle-ci à attendre la personne qui se trouvait devant elle. L'échange avait été au début très professionnel, et Andréas attendait (impatiemment il faut l'avouer) un coup d'éclat du jeune acteur. Car Belial avait la réputation de mener la vie dure aux journalistes. Même si aucun ne l'aurait surement jamais aussi dure que celle qu'il menait à la jeune fille (XD).
Elle avait commencé par lui poser des questions simples, bateaux, le genre que l'on posait dans toutes les interview pour la promo d'un film, ou d'un quelconque objet. Puis, trouvant l'échange ennuyant, elle s'était aventurée petit à petit sur un terrain plus pentu, jusqu'à tomber sur LA question qui le fait réagir. Il avait refuser de répondre. Elle avait insisté. Et leur chantage s'était mis en place. Si un des deux posait une question, l'autre pouvait le mettre au défi de faire quelque chose de dingue. Si l'autre s'exécutait, alors il devait répondre à la question. Et ainsi de suite. Il n'y avait qu'une seule règle : Si l'un deux refusait de relever le défi, c'était à son tour de poser le défi à relever, a la clé la réponse à la question que l'on venait de lui poser. Si son interlocuteur le relevait, alors le jeu était fini.

Et il fallait croire qu'ils ne s'en lassaient pas. Amener à se revoir dans des soirées, à des premières ou sur des plateaux télé, c'était à chaque fois la même rengaine. La moindre petite question était prétexte au lançage de défi. Et cet entretien là n'allait pas échapper à la règle.

Alex apparut alors près de Belial et déposa un plateau contenant le petit déjeuner de la jeune fille ainsi que son... Café. Elle grimaça à l'odeur et le poussa a l'autre bout de la table. Elle s'en occuperait plus tard.


« Merci Alex.... »


Alex toujours debout a coté de la table, elle se tourna vers son invité, le regardant avec des yeux ébahis, signifiant qu'elle l'enjoignait à commander quelque chose s'il en avait l'envie.

Alex reparti, elle organisa son plateau, alignant le pain au chocolat et les deux croissant et positionnant son chocolat chaud devant elle. Puis elle attrapa un couteau, ouvrit son croissant en deux et commença à y tartiner allègrement de la pate à Tartiner choco-noisette qu'elle sortait d'un petit échantillon posé dans l'un des recoins du plateau.
Tout en tartinant, elle releva la tête vers Belial.


« Bien, Belichou, Je suppose que tu veux qu'on commence tout de suite, sans se préoccuper des mondanités, je me trompe ? »

Devant sa réaction, Andréas comprit qu'elle avait vu juste. elle appuya alors sur le bouton "REC" de son enregistreur avec son petit doigt gauche et posa sa première question.


« Alors, Belial. Qu'as tu fais hier soir ? »

Question bateau, qui servait à donner aux lecteurs des détails sur la vie de la célébrité qui était interviewée, mais qui allait fichtrement emmerder son hôte. Et ça, Andréas le savait...
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MessageSujet: Re: I've Got a Really BAD Disease. { WITH BELIAL -   I've Got a Really BAD Disease. { WITH BELIAL - EmptyMer 23 Sep - 1:22

    Before everything begins, memories from past,
    My body smelt it, a weak impulsion. ♫


    Il y avait lui à la table et il y avait cette fille. Ou alors si vous préférez LA Fille, celle dont on ne peut pas se passer, celle qui pourrit votre vie d’un simple sourire et le genre de personne à qui vous dites encore devenant un brin sadomasochiste, mais juste un brin. Andréas était ce genre de personne pour Belial. Mettons les points sur les i, il n'était pas amoureux, il n'en voulait pas dans sa chambre, encore moins pour amie, elle prendrait trop de place, non la voir de temps en temps suffisait au côté masochiste que Belial possédait, et que chaque personne avait en soi, et ça lui suffisait. Mais là, il la voyait trop souvent. En tout cas cette interview semblait de trop. Va faire la promotion de ton film qu'on lui disait. Tout avait commencé sur une autre promotion de film, sur ce film qui avait crée de nombreux scandale notamment à cause de lui et il n'en n'était pas peu fier. D'ailleurs il avait débarqué dans un café, pas celui-là, un autre, on leur avait réservé une salle, et il avait débarqué, avec un air de son personnage. Soit le képi de la Waffen SS, avec l'aigle entourant la croix gammée et la tête de mort. Qu'est-ce qu'il avait fait scandale en débarquant avec le jour de l'avant première, et le gardant pour un de ses photoshoots. Mais on ne pouvait rien en redire, Belial aimait être le centre de l'attention, et choquer les gens restait un de ses passe-temps préférés. Alors il avait débarqué à son rendez-vous, sans aucune envie d'y aller, le képi visé sur la tête, ses cheveux longs détachés tombant sur ses épaules, un maquillage outrancier, des fringues de marques qu'il portait avec nonchalance dans de vieilles Dc Martens qui semblait avoir fait la guerre et autant de bijoux qu'une fille. Il s'en souvenait bien de ce jour là, dans ce petit café, et dans cette salle privée où l'on prenait des photos de la rencontre, il avait été professionnel, du mieux qu'il pouvait répondant froidement sèchement, mais répondant tout de même. On était passé du film, de son ressenti à jouer un des officiers SS, son avis sur le nazisme, son avis sur le film, comment s'était passé le tournage, ce qu'il avait pensé des scènes tournés dans les anciens camps, et puis peu à peu ça avait dévié.

    Dévié en enfer.

    Peu à peu on en était venu à parler de lui. De sa carrière tout d'abord, de son talent, de son double cursus, soit acteur et mannequin, puis après des ses gouts, et doucement le sujet déviait. Et il dévia sur quelque chose qu'il n'aima pas. Sa famille. Elle lui demandait innocemment des nouvelles de sa famille. Au début son sourire se fana juste, il répondit comme il ne pouvait. Car pour qu'on le laisse en paix avec son passé, il avait expliqué au début de sa carrière, que ses souvenirs ne commençaient qu'à ses treize ans, ce qui était en partie vraie, même si depuis il se rappelait de certaines choses plutôt déplaisante. Alors il avait ressortie la même rengaine. Elevé par un ami de la famille, car instable après son amnésie, héritier des Della Robia malgré tout, il avait laissé une belle somme d'argent à son frère, et à sa mère et tout aller pour le mieux. Mais il ne savait pas comment, elle avait eu d'autres informations. Des informations que lui même ignoraient ou ne connaissaient que par flashs et encore. Elle lui avait balancé sa vie à la tronche comme on balance une serviette demandant la véracité des dires. Si oui, il était bien le gosse d'un adultère, si oui, sa belle-mère l'avait accepté seulement pour de l'argent, si oui il s'était bien fait virer de son bahut pour avoir tenter de tuer deux personnes dont son frère, si oui son amnésie à ses treize étaient dû à une chute, si oui il vivait chez un tuteur bizarre, et si oui, il avait bien raflé l'héritage au nez de son frère. Toute sa vie en compressée, confirmer les faits. Comment aurait-il pu ? Alors il avait viré les photographes payant cache pour leur silence, et le jeu avait commencé. D'une telle banalité. « Je te le dirais si tu oses faire CA. » Début d'un jeu, premier round. Et les rounds s'étaient succédés, chaque rencontre n'était qu'un prétexte pour le jeu. Et tout comme Andréas, Belial y avait pris goût.

    La réaction d'Andreas, il aurait pu la savoir d'avance. Son sourire était presque contagieux, sauf qu'il n'avait pas envie de rire, et qu'il se retrouvait avec Elle. Elle qui lui trouvait toujours des questions farfelus auxquelles il devait répondre. Tout ça parce qu'il n'acceptait pas de perdre. Car le lendemain de son premier round, le magazine Show Your Life, exposait tout son passé, ajoutant pour la forme qu'il n'était pas que Bad boy d'apparence. Oh joie. Et le manageur qui avait gueulé au début, et qui les jours d'après s'en frottait les mains car le film avait fait un carton. S’il comptait recommencer sur un coup pareil, il se foutait le doigt dans l'œil. Il n'y avait plus rien de privé dans sa vie. Enfin du moins le pensait-il. L'observation de la jeune fille le faisait rire intérieurement. Elle suivait le moindre de ses faits et gestes, et bien elle allait être servie. En effet, le jeune homme s'était laisser choir, gracieusement tout de même quand on vient de la Haute, on sait se tenir, sur la banquette, et n'avait pas enlevé ses lunettes, elle-même cachant le cache-œil sur son œil droit. Ah, elle n'avait pas encore demandé le pourquoi du comment, ça faisait encore une question à éviter, encore faudrait-elle qu'elle y pense. « Bonjour Belial. Tu sais, je crois que si tu enlevais tes lunettes de Soleil, tu ne risquerais pas trop d'être ébloui... » Nyanyanya. Pensée typiquement gamine nous sommes d'accord. Pourtant le jeune homme s'exécuta, plaçant les lunettes Gucci dans ses cheveux qu'il aurait du finalement attaché, tardant un regard unique, normal y'a qu'un œil de visible sur la jeune fille gardant toujours le silence. Non, tu ne l'auras pas ton bonjour. « Merci Alex.... » Les paroles de la jeune femme le sortit de ses pensées tout autant que l'odeur du café, qui ma foi avait l'air assez fort. Réprimant une grimace, il se tourna de nouveau vers Andréas qui le regardait avec un air ahuri, ou alors était-ce ébahis. Quoi qu'il en soit, son calme était à rude épreuve aujourd'hui. Ne pas rire, ne pas rire. Commander.

    « Hum ... Du thé, de L'Earlgrey par pitié, pas un truc qu'on vend dans la boutique du coin, et des scones si vous avez. »
    répondit-il de sa voix calme et posé. Hourra, il a parlé, enfin, sortons le champagne. Remarquez également qu'il est dans sa période typiquement British rien qu'à la vue du petit déjeuner qu'il avait demandé.

    Nouvelle grimace de la part de Belial une fois le serveur, ou le patron qu'en savait-il, en bref celui qui venait de prendre sa commande, parti, quand il regarda la demoiselle mettre autant de chocolat dans son croissant. Il ne comprenait pas le fait de rajouter dans un machin plein de beurre, et plein de graisses une nouvelle couche de sucre et de gras. Enfin, il n'allait pas non plus lui faire part de sa réflexion, elle allait le traiter de fillette au régime ou sous prozac. Et il n'était ni l'un, ni l'autre même si on l'avait appelé mademoiselle, il n'y a même pas un quart d'heure. « Bien, Belichou, Je suppose que tu veux qu'on commence tout de suite, sans se préoccuper des mondanités, je me trompe ? » Belial tiqua au Belichou, son regard devenant plus froid, mais il n'eut pas le temps de lui rendre la pareille avec un surnom tout aussi débile que le dénommé Alex revenait avec sa commande, s'excusant pour l'attente. Buvant une gorgée de thé qu'il dégusta, il hocha d'un signe de tête, engageant alors Andréas à commencer, ne faisant guère attention à l'enregistreur, sachant très bien qu'elle pourrait couper des parties de l'interview. « Alors, Belial. Qu'as tu fais hier soir ? » Hier soir ? Hier soir ... Ah, l'éphèbe du jour. Il fallait le dire ou pas ? Avec le sourire sardonique de Belial vous vous doutiez de la finalité, il allait le dire.

    « J'ai rencontré un gentil garçon dans la rue, on a dialogué, avec nos bouches à la recherche d'une langue commune et je l'ai pris dans l'ascenseur du Ritz, avant de le baiser sauvagement contre la baie vitré de ma suite. »
    Vulgaire et mauvais genre. Belial, le retour du démon.

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MessageSujet: Re: I've Got a Really BAD Disease. { WITH BELIAL -   I've Got a Really BAD Disease. { WITH BELIAL - EmptyMer 23 Sep - 16:41

Rire ou ne pas rire. Rire ou ne pas rire... Rire ou ne pas rire ...?
C'était tentant, il fallait avouer. Car que Bélial soit en train de se foutre de la gueule d'Andréas ou non, le résultat était le même : si elle foutait sa réponse dans son magasine, cela allait faire des vagues. Elle pouvait presque voir les mères puritaines arracher des mains de leur jeune adolescent(e) le dernier SHOW YOUR LIFE, alors qu'il s'était précipité dessus pour justement en apprendre plus sur sa star du moment : Belial Della robia.
Et les lecteurs allaient-ils être déçu ? Entre ceux qui allaient surement se dire que qu'Andréas avait du modifier ses propos, et ceux qui allaient trouver cela révoltant, la jeune femme SAVAIT qu'il y en aurait aussi qui allaient, comment dire... Kiffer ça. Du genre, qui allaient trouver ça terriblement cool et terriblement... sexy.

Bon, il fallait avouer que Belial ETAIT SEXY. C'était quelque chose que personne ne pouvait nier. Bon, a part peut-être les petites mémés aux goûts vieillots. Même si certaines avaient peut-être déjà perdu leur dentier en le voyant passer. Non, mais c'est vrai quoi ! Belial avait un visage et des traits fins. Sa silhouette tout entière était fine d'ailleurs (il n'était pas manequin pour rien, n'est-ce pas ?), et il était charismatique. Bon, le coté pot de peinture (Andréas exagérait à peine, aujourd'hui Belial était dans l'un de ses jours "je suis bien au presque-naturel); Très peu pour la jeune fille mais sinon... D'ailleurs, qu'est-ce qu'elle ne donnerait pas pour le voir sans maquillage ! C'était un peu comme un fantasme de journaliste, Qui relevait de la curiosité pure. Il fallait avouer qu'elle aurait aimé fouiller dans sa chambre aussi, entrer dans son intimité, voir si il y avait un Belial différent derrière cette apparence nonchalante de fou furieux provocateur.

Mais Andréas n'y aurait surement jamais accès (TwT), ses spéculations restant pour toujours rien que des... spéculations. Mais cela ne l'empêchait pas de se dire que celui qui s'était "fait prendre dans l'ascenseur du Ritz, avant de s'être fait baiser sauvagement contre la baie vitré de sa suite", n'était pas si mal loti que ça, au final. Les mecs plus moches, ça se trouvait à tous les coins de rues !
Une fois ces pensées fort sympathique pour Belial passées, Andréas se demanda s'il valait mieux qu'elle fasse comme si de rien n'était, genre "je continue mes questions comme si tu venais de dire que tu t'étais couché tôt", ou bien si elle cherchait à creuser... C'était tentant. Mais cela mettait également son interview en suspens.

Elle arracha un bout de son croissant à la pâte à tartiner Choco-noisette pour se donner contenance, la mâcha soigneusement, s'essuya la bouche avec sa serviette en papier (le tout sans avoir quitter Belial du regard), puis continua son interrogatoire.


« Mmmmh... Fort intéressant. Et Ce jeune homme t'a-t-il satisfait pleinement hier soir, Belinou ? »

Autant continuer. Elle était là pour s'amuser oui ou merde ? .... D'accord, elle était sensée bosser mais cela, vous n'étiez pas obligés de le rappeler uwu.
Un petit sourire toujours présent au coin de ses lèvres, Andréas reposa son croissant chocolatée pour saisir la tasse contenant son chocolat chaud, qu'elle porta à ses lèvre, pour en boire une gorgée. Elle pouvait voir au loin Alexandre s'affairer en tous sens, afin de contenter la clientèle, alors qu'à leur table à eux, tout était si calme, lent.. Il prenait tout les deux des pincettes. Pas des pincettes afin de ne pas se froisser hein, mais plutot afin de provoquer l'autre au plus haut point. Original, n'est-il pas ?

Et quand Andréas y pensait, elle se rendait compte que Belial n'avait même pas pris la peine de la mettre au défi... Ils n'en étaient encore surement qu'à l'échauffement. Ce qui s'annonçait comme mauvais. Très mauvais. Mais aussi très amusant. Haha.

Et puis, l'appeler "Belinou", n'était peut-être pas une bonne idée au final. Sauf si c'était Andréas qui l'employait. Cela lui assurait un énervement de sa part plus rapide, et donc un échange plus amusant. Cela faisait longtemps qu'elle l'appelait comme ça. Peut-être même était-ce un sobriquet dont il avait hérité de leur première rencontre ? Andréas ne s'en souvenait pas vraiment, mais ce qui était sur, c'était qu'elle n'abandonnerait pas ce siiiii mignon (Haha) surnom a son propre sort. Ha ça non. Même si cela devait énerver Belial au plus haut point jusqu'à la fin de ses jours <3


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MessageSujet: Re: I've Got a Really BAD Disease. { WITH BELIAL -   I've Got a Really BAD Disease. { WITH BELIAL - EmptyVen 25 Sep - 19:32

    Oh my muse, let us leave this bitumen which makes us grey,
    Us stupefied, and mucks up our feathers ... ♫


    Belial ou l'art d'être vulgaire tout en gardant la classe. Il le voyait bien que sa réaction, sa façon de le dire, rien que le timbre de sa voix avait porté ses fruits. Un sourire sardonique, une fois douce, des mots crus, le simple fait de jouer avec la langue française l'amusait au plus au moins. Mais le sourire sur les lèvres d'Andréas lui prouvaient qu'elle s'amusait également. Et qu'elle réfléchissait. Oh, il savait déjà à quoi. Devait-elle mettre sa réponse dans son journal. Elle en avait déjà balancé tellement la dernière fois, qu'une frasque de plus de sa part ne changerait pas la donne. Car avouons-le, malgré leur jeu, son amusement à y participer, comme il lui en voulait. Elle avait trouvé sa vie, ce que lui ne se souvenait que de peu et l'avait balancé à la tronche du monde. Batard, fils d'une fille de joie, violent, rancune mortelle contre son frère, renié par son père, amnésique, mais pourtant héritier. Quel beau passé, quel horreur oui. Et le monde savait. Le monde savait que Belial n'était pas un gentil garçon, il savait qu'il était vraiment ce qu'il montrait. Méchant, froid, cynique. Provocateur, et on l'aimait pour ça. Alors qu'il annonce qu'il avait passé une nuit torride avec un gars ne changerait pas grand chose. Il était bisexuel, il ne l'avait jamais caché à personne. Il était presque à s'afficher en compagnie de ses conquêtes, car de toutes façons les stars n'ont pas de vie privé, il l'avait compris bien assez tôt. Autant balancer quelques infos pour qu'on vous foute la paix. Un credo qu'il appliquait à la lettre.

    Après il y avait des choses qui ne changerait pas. Vous le traiterez de narcissisme, qu'il vous dirait oui. Mais une chose était sûr, il savait ce qu'on pensait de lui, oh oui, il le savait très bien. C'était à peine si ça ne s'affichait pas autour de lui. Della Robia est Sexy. LUI. 1m80 de sex-appeal. Son corps transpire le sexe. Ses yeux brulent de sexe. Si on osait utiliser une métaphore, on dirait que c’est la Rolls Royce du mâle dans toute sa splendeur, le Manholo Blanik du fantasme féminin tout autant que masculin sur pied. Ce salaud a un charisme tel que les filles tremblent d’envie à la simple pensée de son nom, tandis que d’autres usent des sous vêtement à s’espérer lui plaire que ça en devient ridicule, et lui il s'en amuse le bougre. Il le sait, se complait dans le physique que maman lui a gentiment donné, au moins elle a servi à quelque chose. Vêtements moulants, maquillages, apparence parfois androgyne, parfois apollon du jour, Belial aurait pu être nommé Bella que ça aurait été la même chose. Et puis si on continue sur cette lancée, on peut dire que son père avait eu une bonne idée dans son nom. On raconte dans d'anciens textes que Belial est le démon de la luxure. Il y a de quoi rire non ? La luxure il l'incarne à la perfection, et si même la jeune fille en face en convenait, où allait le monde. En parlant de la jeune fille en face, Belial n'hésitait pas à l'avouer, si celle-ci n'avait pas un tel caractère, et puis si ce n'était pas une connaissance/ennemie du travail, il l'aurait déjà mis dans son lit. Enfin il ne le ferait pas, elle l'exaspérait trop, mais alors beaucoup trop.

    Et puis il y avait une chose qui le coupait dans son envie de la mettre dans son lit en plus de tout ça. C'était franchement dégoutant ce qu'elle osait manger. D'ailleurs notre jeune asiatique ne manquait pas de regarder le croissant plein de chocolat avec un dégout non dissimulé, avant de détourner ses yeux sur ses scones, beaucoup agréable à regarder avouons-le. Au moins, elle mangeait proprement. Combien de fois, il avait du s'excuser à certains rendez-vous parce que le journaliste, ou le responsable mangeait comme un porc ? « Mmmmh... Fort intéressant. Et Ce jeune homme t'a-t-il satisfait pleinement hier soir, Belinou ? » Nouveau temps d'arrêt. Cette fois-ci suspens de la tasse dans son chemin. Pourtant il se reprit, buvant sa gorgée, reposant sa tasse sur le support avec grâce. Belinou ... Après Belichou, voila Belinou, c'est quoi la suite ? Belichounette ? Belou ? Belouuuu d'amour ? Oh par pitié, est-ce que c'était si compliqué de dire Belial, en le prononçant tout simplement Bélialeuh ? Non, et pourtant, ça ne rentrait pas dans la tête de la jeune fille, et ça énervait Belial. Essayant de se concentrer sur la question, il eut comme un éclat de surprise dans le regard. Qu'il se souvienne, l'interview, c'était bien sur son nouveau film non ? Quoi que c'était lui qui avait commencé, mais tout de même, c'était sa vie privé, mais devait-il continuer sur la pente de la provocation, à force, il se le demandait.

    « Et bien, je dirais poliment que ça ne vous regarde en rien mademoiselle MacCarter, mais si vous voulez le savoir, je crois avoir pris trop de substances dont vous n'imaginez sans doute même pas le nom, pour me souvenir, mais je pense que c'était un bon coup, vu le message sur ma table de chevet, pourquoi donc ? Voudriez-vous tenter ? »

    Et voila, c'était le début du jeu tout simplement. « Belinou », et une question un peu osé, suffisait pour que les sous-entendus commencent. Vouvoiement de mise, il n'est pas sensé tutoyer les journalistes, c'est ce qu'on lui a inculqué, il n'est pas sensé non plus faire du gringue aux journalistes, mais on ne lui a pas dit de ne pas en faire aux responsables de magazines. Et puis on lui avait déjà dit un jour que s’il donnait son corps pour mieux se vendre, on ne ferait que le féliciter. Oh pauvre gens prudes que vous êtes, soyez rassuré, il n'a jamais eu à le faire, il est assez talentueux, si, si je vous jure. Et puis, il n’est pas du genre à se vendre, il a bien trop de fierté pour cela après tout, et puis ça ferait désordre si on apprenait que le grand et sublime Della Robia se vend pour trois fois rien. On dit trois fois rien, tout simplement car face à ses cachets pour ses films ses photoshoots en temps que mannequins et les droits qu’il gagne que se soit sur les produits dérivés, ou encore sur tout le commerce qui va avec, faire le tapin c’est gagné une misère à côté. Un sourire aux lèvres, il s'appuya un peu mieux sur la banquette, prenant une position plus détendu, et croisant ses longues jambes fines en passant. Son sourire s'intensifia alors, tandis qu'il portait sa tasse de thé à ses lèvres. Il semblait que le démon avait une idée, et elle semblait assez particulière vu le sourire qu'il affichait, d'ailleurs à nouveau il reposa la tasse avec délicatesse sur la table, appuyant son dos contre le dossier de la banquette avant de poser ses coudes sur sa jambes, mains croisées, la tête sur celles-ci, observant avec attention Andréas, sans se départir de son sourire torve, qui décidément lui donnait un air bien pervers, quoi pourtant lui allait bien.

    « Si ça vous dit à ce point de venir me tester, puis-je vous dire que je risque d'être un peu violent, et que la vitre du Ritz est glacée ? »

    Oui il ose. Parce que ça l'amuse.


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MessageSujet: Re: I've Got a Really BAD Disease. { WITH BELIAL -   I've Got a Really BAD Disease. { WITH BELIAL - EmptyMar 29 Sep - 19:02

Belial. Plus Andréas y pensait, plus elle se disait qu'elle aurait pu écrire un bouquin sur lui. Voir même une bouquin en plusieurs volumes. Entre son passé houleux d'assassin horrible (selon les rumeurs), son présent de bête de sexe droguée et son futur de star montante (cela, Andréas n'en doutait pas), il y avait de quoi dire.
En effet, c'était elle qui avait dévoilé son passé. Suite à une provocation du jeune homme, elle avait été contrainte de riposter. Fort. Violemment. Et si il y avait bien une chose sur laquelle Bélial n'avait jamais rien dévoilé c'était bien sa famille. Son point faible ? Peut-être. Point faible ou pas, ces informations étaient bien gardées. Elle avait mis des mois avant de trouver LA pièce du puzzle qui la guida petit à petit jusqu'à avoir chaque pièce le constituant. Puis quelques semaines pour tout reconstituer.
Plus elle approchait du but, plus la jeune journaliste était à la fois excitée et horrifiée par ce qu'elle avait sous les yeux. En règle générale, Andréas évitait de faire du mal inutilement, tout comme elle évitait de révéler au grand jour de telles... choses. Mais cette fois-ci, elle n'avait hésité que quelques minutes. Quelques minutes au bout desquelles elle avait reçu un mail narquois du jeune acteur, rabaissant sa personne, et s'en amusant apparemment. ni une ni deux, elle avait écrit son article et l'avait programmé pour le magasine de la semaine d'après.

Le lendemain, elle s'était rendu au bureau du manager de Bélial, où elle était sure de le trouver à une telle heure. Elle était entrée sans frapper, avant balancer son article, avait envoyé un sourire narquois à la jeune star avant de quitter la pièce leur annonçant que dans moins d'une semaine toute la erre serait au courant. On pouvait même lire à la fin de son article un joli "Sans Rancune ~ ♥". Si Bélial l'avait bien pris ou non, ça Andréas n'en savait rien, en tous cas il supportait toujours sa présence.
Et pour le moment, il en profitait même, du fait qu'elle soit là.

Le laissant répondre à sa question, elle finit son croissant, s'essuyant ensuite la bouche et les doigts soigneusement, les restes gras n'étant pas vraiment son truc. Après avoir pris soin d'avoir bien mâché sa bouchée, et qu'accessoirement il ne lui restait rien sur les dents en passant sa langue dessus discrètement, elle gratifia Bélial d'un grand sourire.
Jusqu'ici il devait surement s'amuser bien plus qu'elle. Chacun son tour mon coco.
Andréas prit son temps. Elle finit son chocolat chaud en une gorgée, puis lorgna sur le café qui l'attendait à l'autre bout de la table. Inspirant un bon coup, elle tendit le bras vers la tasse, le considéra quelques secondes puis en but une longue gorgée. Lorsque sa bouche se détacha de la tasse, elle fit une petite grimace avant de secouer la tête, puis d'enfourner un mini pain au chocolat.
Elle posa sa tasse sur le coin de la table, et s'essuya de nouveau la bouche avec sa serviette avant de plonger ses yeux clairs dans ceux du jeune homme.

On peut dire qu'à partir de là, le jeu débuta réellement. Andréas venait de l'accepter, s'apprêtant à mettre Bélial au défi. Elle tendit la main vers sa tasse où il restait un fond de café à peine tédiasse et le renversa, par mégarde, sur le magnifique pantalon de son interlocuteur. Elle porta sa main à sa bouche qui avait a présent la forme d'un 'O'. Elle se leva, jouant parfaitement la comédie pour une journaliste et s'approcha de Bélial, feignant la gêne.


« Bélial, je suis dééésoooléééééééééééééééééée ! Je paierai la note du pressing ou même je te rachèterai un autre pantalon... et un autre tee-shirt. »

Elle regarda, nâââââvrée, le tee-shirt du jeune homme qui était également taché. Bien entendu, quelque soit la valeur de ce qu'il portait, Andréas pouvait se le permettre. Et puis, elle ne voulait pas lancer son gage comme cela, à l'arrache. Un peu de classe voyons !
A présent, un air amusé remplaça son air gené, et Andréas révéla le vrai fond de sa pensée.


« Je crains, mon chou, que tu ne sois obligé d'enlever tous ces vêtements tachés pour m'accompagner jusqu'au pressing... C'est fort embêtant. Surtout que je n'ai malheureusement pas assez de liquide pour nous payer un taxi jusque là... »

Alors Bélial ? Te trimballer à moitié à poil dans les rues de Paris, afin de traverser bon nombre de celles-ci pour trouver un putain de pressing... Acceptais tu ou préférais-tu encore perdre le jeu ?
Bien entendu, Andréas savait d'ors et déjà ce que monsieur-qui-avait-un-ego-comme-trente-fois-la-Terre allait répondre. il n'allait pas refuser de dévoiler son corps parfait à toute la capitale quand même ?
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